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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 03:00



De nouvelles sanctions tomberont sur les candidats à la prochaine élection présidentielle que la communauté internationale qualifie d'"illégaux", indique un communiqué du Groupe international de contact sur Madagascar (GIC- M) publié lundi.


"La liste récapitulative des personnes auxquelles les sanctions s'appliqueront sera élaborée à travers des consultations entreprises par la Commission de l'UA avec les organisations et pays participant aux travaux du GIC-M de façon à disposer, autant que possible, d'une liste unique", a indiqué le groupe de contact qui vient de tenir sa 7ème réunion à Addis Abeba.

 
Selon le GIC-M, la CES a violé les lois nationales malgaches en validant les candidatures de l'ex-première dame Lalao Ravalomanana, de l'ancien président Didier Ratsiraka et d'Andry Rajoelina, président de la transition, et celles d'autres acteurs politiques dont les candidatures ne sont pas conformes à la loi et aux dispositions pertinentes de la Feuille de route.

 
En mai dernier, le Sommet de l'Organe Troïka des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté de développement de l'Afrique Australe (SADC) en Afrique du Sud, a exhorté ces trois candidats à abandonner leurs candidatures au nom de la paix et de la stabilité qui doivent prévaloir dans la conduite des élections à Madagascar.

 
La SADC appuyée par le GIC-M et d'autres membres de la communauté internationale ont indiqué qu'ils ne reconnaitront pas les autorités malgaches qui seraient élues en violation des décisions pertinentes de l'UA et de la SADC.

 
"Le Groupe a exhorté l'ensemble de la communauté internationale à exercer une pression politique et diplomatique sur les candidats présidentiels illégaux en vue de leur retrait pour le bien de la paix et de la stabilité à Madagascar, et à ne pas reconnaitre le résultat d'élections qui incluraient les candidats qui ont présenté leurs candidatures en violation de la Constitution et de la loi électorale de Madagascar", a-t-on mentionné dans le communiqué.




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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 02:41



Selon un communiqué de la Majorité présidentielle populaire (MPP), l'opposant au régime KABILA, Eugène Diomi Ndongala, est gravement malade au Centre Pénitentiaire de Rééducation de Kinshasa (CPRK). Son épouse a étè contactée d'urgence pour envoyer des produits injectables ainsi que des seringues pour le réanimer.

 
Selon un communiqué publié samedi 29 juin 2013 par la Majorité présidentielle populaire (MPP) et signé par son chargé des Relations extérieures Rigobert Kuta, " Eugène Diomi Ndongala est gravement malade et soumis à un traitement dans des circonstances dangereuses pour son intégrité physique ", alors qu'il est injustement détenu au Centre pénitentiaire de rééducation de Kinshasa (CPRK), malgré deux arrêts de la Cour suprême de justice (CSJ) demandant son assignation à résidence.

 
Samedi 29 juin dernier, vers 13h00, il a été conduit à l'infirmerie de cette prison alors qu'il était inconscient et ne bougeait plus. Son épouse, Patrizia Diomi, a été appelée d'urgence, poursuit lecommuniqué, par le CPRK pour envoyer un produit injectable ainsi que des seringues pour le réanimer. Si on arrivait à le réveiller, on craint de forts risques d'une probable paralysie, vu des signes qui se manifestent.

 
La Majorité présidentielle populaire promet de rendre responsables tous ceux qui sont impliqués, de loin ou de près, dans l'arrestation " arbitraire " de son porte-parole, au cas où quelque chose de grave se produisait.
 

Il faut rappeler par ailleurs que Eugène Diomi Ndongala, président national de la Démocratie Chrétienne, et député de l'opposition, vient d'être irrégulièrement invalidé à l'Assemblée nationale pour absences non justifiées aux plénières, alors qu'il était soumis à des conditions telles qu'il ne pouvait pas se présenter au Palais du peuple.

 
Ses avocats ont, plus d'une fois, saisi le bureau de cette chambre législative en vue d'expliquer toute la situation, de l'enlèvement à son arrestation sans oublier son incarcération au Centre pénitentiaire de rééducation de Kinshasa (CPRK).

 
Au regard de toutes les péripéties qui entourent le calvaire qu'endure le porte-parole de MPP, le communiqué de cette plate-forme souligne que cette arrestation a des contours politiques visibles.




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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 02:37



 

Plus de 240 prisonniers se sont évadés de la prison centrale de Kangwaye, dans la ville de Beni, province du Nord-Kivu, à l'est de la RDCongo, a indiqué un témoin lundi à Xinhua sous couvert d'anonymat.


Il a précisé que la prison avait été attaqué vers 4h00 du matin.

 
"Sur 339 prisonniers, 245 ont réussi à s'évader, un prisonnier tué par les forces de sécurité commises à la garde de cette prison et de dégâts matériels importants enregistrés", selon la même source. "Les policiers et militaires commis à la garde de la prison de Kangwayi avouent avoir été débordés par la supériorité de la puissance de feu des agresseur.


Cette attaque contre la prison est attribuée à un groupe de miliciens Maï Maï non autrement identifié venus du coté de Bashu via Kalau ou encore de Nyaleke", a indiqué la societé civile du Nord-Kivu.





 

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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 02:34

 


Le personnel scientifique de l'Enseignement supérieur et universitaire a entamné lundi une grève illimitée sur toute l'étendue de la RDC, a annoncé Godefroid Sinzidi, président du Collectif des syndicats et association des enseignants du corps scientifique.


 Selon M. Sinzidi, cette décision, prise à l'issue d'une assemblée générale tenue le même jour à Kinshasa, est consécutive à la non prise en compte par le gouvernement de son cahier des charges déposé le 10 avril dernier et du problème de la mécanisation des nouvelles unités, et au mutisme du gouvernement par rapport au préavis de grève lancé le 22 juin dernier.

 
Le personnel scientifique réclame particulièrement la réduction de la tension salariale entre le personnel académique (professeurs) et le personnel scientifique comprenant les chefs des travaux, les assistants, les chercheurs et les chargés des pratiques professionnelles.
 

Il y a des craintes que l'année académique 2012-2013 soit perturbée, dans la mesure où dans la plupart de ces établissements publics, ce sont les Chefs de travaux et les assistants qui assument d'importantes charges horaires.




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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 02:30

 


Après l'instauration d'une commission d'enquête, l'opération "reprise en main" du pape François au sein de la banque du Vatican vient de connaître une nouvelle accélération avec le limogeage de deux dirigeants de longue date de l'IOR.
              

Officiellement le directeur général Paolo Cipriani et son adjoint Massimo Tulli ont présenté de leur plein gré leur démission "dans l'intérêt du Saint Siège et de l'IOR", l'Institut pour les oeuvres religieuses, le nom officiel de la "banque des papes".
              

Le président de l'IOR, l'Allemand Ernst von Freyberg, nommé par l'ex-pape Benoît XVI juste avant sa démission en février, a assuré dans un communiqué que la banque avait "besoin d'une nouvelle direction pour accélérer le rythme du processus de transformation".
              

En réalité, selon les médias italiens, il s'agit bien d'un limogeage des deux plus puissants dirigeants de la banque du pape restés en place après le limogeage à grand fracas en mai 2012 d'Ettore Gotti Tedeschi de la présidence de l'IOR pour des erreurs de gestion.
              

Selon le Corriere della Sera de mardi, leur mise à l'écart a été jugée "opportune" car ils figurent en tête des personnes visées par une enquête sur des soupçons de blanchiment d'argent sale lancée en 2010 par le parquet de Rome qui sera "terminée dans les prochains jours" et devrait déboucher sur leur renvoi en justice.
              

L'enquête avait démarré avec la spectaculaire mise sous séquestre de 23 millions d'euros appartenant à l'IOR après des mouvements suspects entre des comptes de l'Institut en Italie et en Allemagne. Quand l'IOR avait commencé à
collaborer, les fonds avaient été débloqués mais les investigations du parquet de Rome visant MM. Cipriani, Tulli et Gotti Tedeschi se sont poursuivies.
              

Plusieurs médias ont aussi parlé de liens d'amitié entre les deux hommes et Mgr Nunzio Scarano, ex chef de la comptabilité de l'APSA, l'agence qui gère le patrimoine du Vatican, arrêté vendredi dernier à Rome pour avoir rapatrié de Suisse vers ses comptes à l'IOR 20 millions d'euros, "fruits d'une fraude fiscale"




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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 02:13



Le festival international de Baalbeck, qui se déroule habituellement dans le célèbre temple romain de l'Est du Liban, aura lieu cette année dans la banlieue de Beyrouth, en raison des violences liées à la guerre en Syrie, ont annoncé mardi les organisateurs.
              

"Malgré la situation et après consultation avec les autorités, nous avons décidé que le festival devait avoir lieu mais en changeant le lieu (...) Il se déroulera donc à la Magnanerie de Jdeidé, un ancien bâtiment servant au 19e siècle à l'élevage des vers à soie", assure un communiqué.
              

"Nous avons choisi ce lieu car il se trouve à la lisière de Beyrouth et est accessible pour tous", ajoutent les organisateurs de ce festival qui a débuté en 1956. Il s'était interrompu durant la guerre civile de 1975 à 1990 pour reprendre en 1997. En 2006, il avait été annulé en raison de la soudaine guerre entre Israël et le mouvement chiite Hezbollah.
              

La soprano internationale Renée Fleming, qui devait être l'invitée phare de l'édition 2013, a annulé sa participation à ce festival, l'un des plus prestigieux du monde arabe et une des vitrines culturelles du Liban.
              

Baalbeck est un bastion du Hezbollah chiite, puissant parti armé qui participe aux combats en Syrie auprès des troupes du président Bachar al-Assad.
              

La ville a été visée ces dernières semaines par une série de roquettes lancées depuis la Syrie par des groupes rebelles selon les autorités libanaises, en représailles au soutien du Hezbollah à l'armée syrienne. En outre, des hélicoptères syriens ont bombardé des localités de l'est du Liban, affirmant pourchasser des rebelles.
              

Le festival, qui devait démarrer le 30 juin, commencera le 17 août avec la chanteuse de rock Marianne Faithfull.
              

Les autres festivals d'été du pays, comme celui de Beiteddine dans la montagne libanaise qui commence vendredi ou du port phénicien de Byblos, se déroulent comme prévu.




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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 02:01



Un deuxième suspect israélien a été arrêté mardi dans le cadre de l'enquête sur un acte de profanation dans un monastère catholique en 2012, qui avait choqué Israéliens, Palestiniens et la communauté internationale, selon la police israélienne.
              

"Un deuxième suspect a été arrêté tôt ce matin, dans l'affaire de vandalisme du monastère de Latroun", a indiqué à l'AFP le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld.
              

"Il est originaire de Bet-El (une colonie au nord-est de Ramallah) et doit comparaître dans l'après-midi devant le tribunal de Rishon-Letzion", a-t-il précisé.
              

Ce tribunal a prolongé lundi la garde à vue d'un autre Israélien soupçonné d'avoir vandalisé le monastère trappiste, une attaque qui avait choqué les autorités religieuses et politiques.
              

Une porte en bois du couvent avait été incendiée et des slogans anti-chrétiens tels que "Jésus est un singe" avaient été inscrits sur un mur de l'édifice.
              

Située dans les Territoires occupés, l'abbaye de Latroun, à 15 km de Jérusalem, qui héberge une communauté trappiste, est l'un des sites monastiques les plus célèbres de Terre sainte, connu en particulier pour son vignoble.
              

Outre les graffitis anti-chrétiens, avaient été inscrits à la bombe sur les murs du monastère le noms d'avant-postes de colonisation sauvage, laissant penser qu'il s'agissait d'une agression de type "prix à payer".
              

Des colons extrémistes ainsi que des activistes d'extrême droite se livrent, sous l'appellation du "Prix à payer", à des agressions sur des villageois palestiniens ou arabes israéliens, des lieux de culte musulmans et chrétiens, des militants pacifistes israéliens, voire l'armée, en représailles à des décisions gouvernementales qu'ils jugent hostiles à leurs intérêts ou des actes attribués à des Palestiniens.
              

Le cabinet de sécurité israélien a décidé le 16 juin de renforcer les pouvoirs et les moyens des forces de sécurité pour réprimer ces actes, en considérant leurs auteurs comme des membres "d'organisations illégales", sans toutefois les qualifier de "terroristes" comme le proposaient le ministère de la Justice et le procureur général




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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 01:56

 


           
Les rebelles afghans talibans ont à nouveau attaqué Kaboul mardi matin, tuant au moins sept personnes dans un bref assaut suicide contre une société de transport étrangère travaillant avec l'Otan, selon la police.
              

L'explosion, suivie d'affrontements avec les forces de sécurité locales, confirme l'intensification des attaques rebelles observée ces dernières semaines, en dépit des espoirs nés de l'ouverture au Qatar d'un bureau taliban destiné à favoriser de futures négociations de paix.
              

L'attaque intervient alors que la pression s'accroît sur le fragile gouvernement afghan pour négocier avec les talibans à un an et demi du départ prévu de la grande majorité des troupes de la force de l'Otan (Isaf), qui le soutiennent depuis plus de dix ans.
              

Un nuage de fumée s'élevait mardi matin au dessus du quartier attaqué dans la capitale afghane, déjà frappée récemment par des attaques talibanes contre la Cour suprême, l'aéroport, la présidence et un bureau de la CIA.
              

Le commando taliban a donné l'assaut vers 04h30 locales (00H00 GMT) dans ce quartier proche de la route de Jalalabad, un axe qui traverse l'est de la capitale et où se trouve notamment des complexes de l'ONU et de l'Isaf.
              

"Quatre gardes népalais, un garde afghan et deux civil afghans" ont été tués dans l'attaque, a déclaré à l'AFP le chef de la police de Kaboul, Mohammad Ayoub Salangi, précisant que tous les assaillants, soit environ trois personnes, avaient été tués.
              

La police a également indiqué que trois à quatre personnes avaient été blessées.
              

L'attaque a visé le complexe du groupe Suprême, basé à Dubai et qui ravitaille notamment nombre de bases de l'Isaf en eau, en nourriture, en essence et autres denrées, et gère également des hangars et logements destinés aux militaires.
              

Selon les premières informations, un camion rebelle bourré d'explosifs a d'abord explosé devant une entrée du complexe industriel, creusant un énorme cratère. Un face-à-face et des échanges de tirs ont ensuite opposé les gardes et deux à trois kamikazes pendant une quarantaine de minutes, jusqu'à la mort de ces derniers, a expliqué le chef de la police.           




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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 01:32



La vente ou l'échange d'or avec l'Iran peuvent depuis lundi être sanctionnés par les Etats-Unis, en application d'une loi votée par le Congrès américain en décembre et qui vise à empêcher l'Iran d'exporter du pétrole en échange du métal précieux.
              

 

La Turquie est notamment soupçonnée par des élus américains d'importer du gaz naturel iranien en échange d'or, de façon à contourner les sanctions visant les transactions financières avec l'Iran. Le président Barack Obama a signé un décret en juillet 2012 pour interdire ce type d'échanges, mais aucune sanction n'avait encore été appliquée, et le Congrès a choisi de les imposer en inscrivant dans la loi américaine l'interdiction des transactions en métaux précieux.
              

 

"Le Congrès va vraiment surveiller de près l'administration pour que ces sanctions soient appliquées", explique à l'AFP Mark Dubowitz, un expert des sanctions qui témoigne régulièrement au Congrès et est partisan de leur renforcement.
              

En pratique, la livraison d'or par une entité au gouvernement iranien ou toute personne privée en Iran peut désormais déclencher des sanctions américaines contre cette entité.
              

 

Le secrétaire adjoint au Trésor David Cohen a suggéré devant le Congrès en mai que la Turquie ne se procurait pas de gaz naturel en échange d'or, en réservant toutefois sa réponse détaillée à une audition à huis clos.
              

 

Lundi sont aussi entrées en vigueur des sanctions américaines contre des secteurs entiers de l'économie iranienne: énergie, transport maritime, construction navale, gestion portuaire et automobile.
            

 

L'automobile a été ajouté à la liste par un décret de Barack Obama le 3 juin.
              

 

De nombreuses entreprises iraniennes liées au régime et aux Gardiens de la révolution faisaient déjà l'objet de sanctions de la part des Etats-Unis, de l'Europe ou des Nations unies, mais les nouvelles mesures américaines élargissent le "filet" américain à la totalité de ces secteurs, sans que Washington ait à désigner des sociétés ou individus particuliers.
              

 

"En désignant des secteurs entiers de l'économie et en ciblant l'or, ils envoient vraiment un message à la communauté internationale des affaires, en disant: il y a très peu de secteurs de l'économie où vous pouvez commercer légalement, et vousprenez des risques importants si vous essayez", dit Mark Dubowitz.
              

 

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a réagi à ces nouvelles sanctions, en affirmant que "l'application de ces sanctions contre l'Iran était un faux pas intervenant à un mauvais moment", ont rapporté les médias mardi.
              

 

"Ces sanctions ne sont pas nouvelles et ont été décidées il y a six mois", a déclaré M. Araghchi, qui a ajouté que "la politique de sanction est un échec et il est étonnant que les Américains, tout en voyant cela, continuent à insister à appliquer leur politique qui a déjà échoué".




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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 01:23




Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a assuré mardi que les Etats-Unis et la Russie ne renonçaient pas à la conférence internationale sur la Syrie même si elle devrait souffrir de nouveaux délais et se tenir après le mois d'août.
              

Les Etats-Unis et la Russie "estiment que la conférence devrait se tenir le plus tôt possible", a-t-il déclaré à l'issue d'une entrevue avec son homologue russe Sergueï Lavrov, en marge d'une réunion de pays d'Asie-Pacifique au Brunei.
              

Toutefois cette conférence, dite Genève 2, qui devait initialement être convoquée en juin, va de nouveau être retardée.
              

Elle n'aura pas lieu en juillet en raison des consultations entre les Etats-Unis et la Russie destinées à régler leurs différends sur le sujet et "août est très difficile pour les Européens et d'autres", a affirmé M. Kerry, faisant implicitement allusion aux congés estivaux.
              

La conférence de Genève est voulue par Washington et Moscou pour tenter d'ouvrir des négociations entre régime et opposition en Syrie après plus de deux ans de conflit.
              

Mais son organisation de cette conférence se heurte à des différends entre les deux pays, Moscou souhaitant notamment associer l'Iran aux pourparlers.
              

La Russie et l'Iran sont les principaux soutiens au régime du président syrien Bachar al-Assad.
              

John Kerry a réaffirmé l'accord entre Washington et Moscou sur une transition politique avec la formation d'un gouvernement composé à la fois de membres du régime et de l'opposition.
              

"Nous sommes fermement, plus que fermement résolus à (poursuivre) le processus de Genève", a-t-il assuré.
              

En juin 2012, la première conférence de Genève avait rassemblé les chefs de la diplomatie des cinq membres permanents du Conseil de sécurité (Etats-Unis, Chine, Russie, France et Grande-Bretagne), des représentants de l'Irak, du Koweït, du Qatar, de la Turquie, et de responsables de l'ONU et de l'Union européenne.




 

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