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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 06:43


L'Institut Supérieur du Pétrole (ISP), dont la construction est en cours dans la municipalité de Sumbe, province de  Kwanzas Sul, commencera à fonctionner en 2016, a-t-on appris mercredi du directeur nationale de Pétrole (INP), Domingos Francisco.


Le responsable a tenu ces propos mardi, à Luanda, en marge de la rencontre entre le ministre angolais de Pétrole, José Maria Botelho de Vasconcelos et son homologue algérien de l'Energie et Mines, Youcefi Yousfi.


“Nous exécutons et développons les projets et nous sommes actuellement à la phase de construction, et si tout marchera bien jusqu'en 2015 ou 2016, l'Institut pourra entrer en fonctionnement", a expliqué le directeur de l'INP.


Selon Domingos Francisco, en attendant la formation de formateurs pour travailler à l'ISP, on doit déterminer les premiers cours pour le démarrage du futur établissement académique.


Le directeur de l'INP a souligné qu'il était envisagé un accord avec l'Algérie pour la formation de formateurs dans le domaine de Pétrole; cependant, son institution ne dispose pas de ressources financières pour couvrir les dépenses.


“Nous allons travailler dans la formation de formateurs et qu'une l'institut construit, nous puissions avoir des cadres angolais formés, capables et bien entraînés, pour transmettre à leur tour, l'expérience aux jeunes, car nous avons une carence de jeunes bien entraînés. Nous allons travailler durement pour correspondre aux exigences", a dit le responsable. L'Institut National de Pétrole est une institutions sous tutèle des Ministères du Pétrole et de l'Education.




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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 06:21

 

Le ministre angolais de Géologie et Mines, Francisco Queiroz, devra visiter, cette même année, l'Algérie, en vertu d'une invitation formulée mercredi, à Luanda, par le ministre de l'Energie de ce pays, Youcefi Yousfi.


Selon Youcefi Yousfi, qui parlait à la presse, au terme d'un entretien avec le gouvernant angolais, la date du déplacement en Algérie du ministre Francisco Queiroz dépend encore de l'ajustement du calendrier de deux entités.


Interrogé sur la visite en Algérie, le titulaire du portefeuille de Géologie et Mines a affirmé qu'il aimerait que la visite ait lieu dans le cadre d'un profond travail de mise en oeuvre de l'accord.


Dans le cadre de la coopération entre les deux pays, les secteurs prioritaires pour le partenariat sont ceux de la formation de cadres, d'hydrocarbures, de l'agriculture, du commerce, de la recherche scientifique et coopération entre universités.



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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 06:17



    La formation technique et des cadres angolais en Algérie est à la tête de la liste de priorités dans la coopération entre les deux pays, dans le domaine de la Géologie et Mines, a informé, mercredi, à Luanda, le ministre angolais du secteur, Francisco Queiroz.


    Le gouvernant angolais, qui se confiait à la presse à l'issue d'une rencontre de travail avec le ministre algérien de l'Energie, Youcefi Yousfi, a affirmé que la définition des secteurs de formation de cadres était dûe au fait que l'Algérie possède des bonnes écoles techniques et universités.


    “L'échange de délégation et l'envoi d'étudiants vers l'Algérie dans le domaine de la Géologie et Mines est ce que nous considérons une tâche immédiate”, a souligné Francisco Queiroz.


    Selon lui, le départ des étudiants angolais pour ce pays devra accélérer la mise en oeuvre du Plan National de Géologie (Angola), qui aura besoin plusieurs cadres, et que c'est pour cette raison, nous allons profiter du potentiel et de l'expérience de l'Algérie dans les domaines des phosphates, du fer et des roches ornémentales, du fait que l'Angola detient des marbres les plus recherchés du monde.


    Des contacts étaient avancés dans le sous-secteur du phosphate, parce que le pays travaille déjà dans l'exploitation de ce minérai, notamment dans les provinces de Cabinda et dans la ville de Soyo, province de Zaire, a-t-il poursuivi.


     Quant au phosphate, le gouvernant a expliqué que l'intérêt d'Angola était d'acquérir l'expérience algérienne dans la production et transformation locale de ce minérai en fertilisants. "Nous allons bénéficier de cette expérience pour ppliquer ici", a souligné le gouvernant.

 
     Pour le ministre algérien de l'Energie, Youcefi Yousfi, la rencontre avec le gouvernant angolais a servi de renforcer la coopération dans le secteur de Géologie et Mines entre les deux pays membres de l'Union Africaine (UA).


    “Nous avons un protocole de coopération. Nous étudions (dans la rencontre) la possibilité d'un accord de coopération dans le domaine spécifique d'exploitation minière", a affirmé Youcefi Yousfi.


    En Angola depuis lundi dernier, la délégation conduite par le ministre algérien de l'Algérie s'est déjà entretenu avec le ministre angolais du Pétrole, José Botelho de Vasconcelos, et a témoigné la signature d'un protocole qui permettra de relancer la coopération, dans divers domaines, entre les compagnies pétrolières de deux pays.


     Il s'agit de la Société Nationale des Combustibles (Sonangol) et sa congénère algérienne "Sonatrach".




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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 16:05

 

 

Tango Negro - As raízes africanas do Tango” é o título do novo filme do realizador angolano Dom Pedro, cuja estreia aconteceu segunda-feira numa das salas da sede da UNESCO, em Paris.

 Durante o lançamento do filme, que contou com o apoio do Ministério da Cultura, o embaixador delegado de Angola junto da UNESCO, Diakumpuna Sita José, considerou o filme uma valorosa expressão da negritude do tango, reflectindo a vida social dos escravos que foram levados para a América do Sul, particularmente para Argentina e o

Uruguai.

 

Evidentemente, podemos reparar a incidência terminológica de palavras provenientes da língua kikongo como “ntango” que significa tempo ou sol, que durante muito tempo serviu de orientação para interpretar a progressão da hora e, por outro lado, “ndombe” que quer dizer homem negro, bem como “nlongo” que quer dizer remédio ou medicamentos”, precisou o diplomata angolano em associação à própria palavra “tango”.

 

Sita José lembrou que os escravos que se instalaram nestes dois países eram maioritariamente provenientes da África central, particularmente dos países que hoje ocupam o espaço do antigo reino do Kongo.

 

A cerimónia contou, entre outros, com a presença de especialistas e diplomatas de países junto da UNESCO, com destaque para os embaixadores daqueles dois países da América do Sul.

 

Para Miguel Ângelo Estrela, da Argentina, muitos autores escreveram sobre o tango enquanto estilo de música e dança, porém, poucos se preocuparam em buscar a sua génese nos bairros de Montevideu e Buenos Aires graças aos escravos no século XVIII e XIX que posteriormente se cruzaram com os emigrantes europeus, principalmente os italianos e espanhóis que ali se instalaram.

 

Por seu turno, Omar Gonzalez, embaixador do Uruguai em França e na Unesco, considerou que o documentário é uma excelente forma de promoção dos afrodescendentes.

 

Não é apenas um documentário, é uma reflexão profunda sobre a vida, sobre a nossa comunidade de gentes anónimas que criaram a nossa história, a nossa identidade” - referiu.

 

Seguidamente a projecção do filme, houve um debate onde a plateia colocou algumas questões sobre o conteúdo do filme e o processo de produção que contou igualmente com o apoio da TV5 Monde. Dom Pedro lembrou que a ideia do filme surgiu em 1990, mas apenas em 2003 começou as pesquisas que culminaram neste documentário que mereceu uma ovação geral.

 

O filme foi filmado em França, Argentina e Uruguai e conta com depoimentos de especialistas no assunto, além de um grande testemunho de Juan Carlos Carceres, que é um dos grandes pianistas de Tango da Argentina.

 

Segundo o director-adjunto para a Cultura da UNESCO, Francesco Banderine, é o carácter universalista do tango que fez com que este órgão especializado das Nações Unidas tivesse o classificado como património cultural imaterial da humanidade.

 

Dom Pedro prepara-se agora para a apresentação do filme no Uruguai e em alguns festivais de cinema na Europa, Brasil e Canadá.


(site : W W W. IMAGES-SONS-ANGOLA. COM)

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 16:00

 


Le cas d'une fillette chilienne de 11 ans enceinte de trois mois après avoir violée par son beau-père a rouvert le débat sur l'avortement au Chili, un des pays d'Amérique latine où l'interruption de grossesse sous toutes ses formes est illégale.


La fillette, surnommée Belen pour protéger son identité, a affirmé mardi qu'elle était prête à avoir le bébé, dans une interview à la chaîne de télévision Canal 13.


"Ce sera comme une poupée que je tiendrai dans mes bras. Je vais l'aimer beaucoup même si elle est de cet homme qui m'a fait du mal, cela ne fait rien, je vais l'aimer", a affirmé la petite fille.


Le cas révélé la semaine dernière dans la presse à la suite de l'arrestation du beau-père, âgé de 32 ans et qui a reconnu avoir violé l'enfant, fait grand bruit au Chili, un des pays les plus conservateurs d'Amérique latine. L'avortement thérapeutique a été autorisé au Chili puis aboli durant la dictature d'Augusto Pinochet (1973-1990).


Le président chilien Sebastian Pinera a avoué s'être senti "touché" par les déclarations de la fillette dont la grossesse pourrait mettre sa santé en danger du fait de son jeune âge, assurant que si un accouchement prématuré se produisait, la vie de la mère devait être la priorité.


"Après 22 semaines de grossesse, s'il était nécessaire de provoquer une naissance prématurée, il faudra suivre cette thérapie, parce que dans notre pays la vie de la mère arrive en premier", a-t-il ajouté. La grand-mère de la fillette qui vit à Puerto Montt (1.000 km au sud Santiago), a dénoncé son beau-fils après la confirmation de la grossesse lors d'une visite médicale.


Plusieurs organisations féministes ainsi que des personnalités politiques, dont la candidate socialiste à la présidentielle du 17 novembre, Michelle Bachelet, se sont manifestées en faveur de la légalisation de l'avortement en cas de viol ou de risques pour la mère.


Le parlement n'est jamais parvenu ces dernières années à un consensus sur l'avortement thérapeutique au Chili, où l'Eglise catholique jouit d'une grande influence et où le divorce n'a été autorisé qu'en 2004.




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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 15:31



 Le Venezuela a reçu une demande d'asile de l'ex-consultant du renseignement américain Edward Snowden, qui a entamé lundi une troisième semaine dans la zone de transit d'un aéroport moscovite, a annoncé lundi le président Nicolas Maduro.


"Nous avons reçu la lettre de demande d'asile", a déclaré le dirigeant vénézuélien depuis le palais présidentiel à Caracas. Snowden "devra décider quand il prend un avion, s'il veut finalement venir ici", a-t-il ajouté.


"Nous avons dit à ce jeune +vous êtes persécuté par l'impérialisme, venez ici+", a ajouté M. Maduro.


Avant que le Venezuela ne reçoive cette demande, Nicolas Maduro avait auparavant offert l'asile à Snowden qui est maintenu depuis quinze jours en zone de transit dans l'aéroport de Moscou-Sheremetievo, après l'annonce des informations fracassantes sur un programme américain secret de surveillance des communications mondiales notamment sur l'Internet.


Le Nicaragua et la Bolivie se sont également dits prêts à accorder l'asile à Snowden, en fin de semaine. Au total plus de vingt pays ont reçu une demande d'asile mais la grande majorité l'a refusé où n'y a pas répondu de manière officielle.




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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 15:15

 


   
Le président péruvien Ollanta Humala a qualifié mardi d'"abus" et de "mise en danger" de la vie du président bolivien, le refus la semaine dernière de quatre pays européens de laisser l'avion du président bolivien survoler leurerritoires.


"Cela a créé un très mauvais précédent", a déclaré M. Humala dans une interview à la radio et la télévision péruvienne RPP. "C'est un abus de la part de ces gouvernements qui ont mis en danger la vie (du président Evo Morales)", a-t-il dit, sans toutefois nommer les pays concernés.


M. Humala est président pro tempore de l'Union des nations sud-américaines (Unasur regroupant 12 pays) qui a exigé excuses et explications sur les incidents qui ont émaillé le retour de M. Morales de Russie.


L'avion de M. Morales a dû faire une escale forcée en Autriche mardi, après que plusieurs pays européens lui eurent refusé le survol de leur espace aérien, soupçonnant la présence à bord de l'ancien consultant pour le renseignement américain, Edward Snowden, recherché pour espionnage par les Etats-Unis.


"Je me suis solidarisé avec lui ce jour-là. Je l'ai joint au téléphone en Autriche", a précisé M. Humala. Dans l'interview, le président péruvien s'est également insurgé contre certaines pratiques d'espionnage des Etats-Unis à l'encontre de pays d'Amérique Latine, comme l'a révélé récemment le quotidien brésilien O Globo. "Nous sommes contre tout espionnage", a assuré M. Humala, estimant que la "vie privée doit être respectée".


Pour sa part, l'ex ministre des Affaires Etrangères José García Belaunde, qui représente actuellement le gouvernement péruvien devant la Cour internationale de Justice (CIJ) dans le cadre du différend maritime opposant le Chili et le Pérou, a qualifié l'attitude des pays européens dans l'incident concernant le président Morales de "stupide, arrogante, et discriminatoire".


"C'est parce que nous sommes "sudacas" (du Sud) comme on nous décrit de manière péjorative", a-t-il expliqué. "Les pays européens en question ne fermeraient pas leur espace aérien à un leader arabe qui leur vend du pétrole; ils devraient présenter des excuses et couper la tête des fonctionnaires qui ont pris ces décisions", a indiqué le diplomate dans la presse péruvienne.




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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 14:33

 

Les grandes vraies élections-tests pour les socialstes approchent. Dans un an, il y aura les municipales. En 2014, les Français voteront aux élections européennes. Le parti socialiste est observé attentivement. Les dernières élections, petites soient-elles, ont été catastrophiques pour le parti socialste français qui atteint un an de pouvoir aux affaires du pays.  Le président François Hollande et son parti confrontés aux crises, n'ont pas encore donnés la pleine mesure de leur capacité à diriger la France. A les entendre, il faut tenir le cap. Cet optimisme est-il trop démésuré ?

 

A la tête du parti, Harlem Désir en assume le secrétariat. Le premier secrétaire du Parti socialiste n'a pas encore montr^é sa capacité de galvamiser les militants de gauche dont il a le rôle majeur. Ceux-ci doutent encore si le PS sortira victorieux face à ses grands rivaux que sont l'UMP et le Front National. Ces deux mouvements ont le vent en poupe en ce moment.

Après avoir perdu toutes les élections précédentes, la droite et les extrêmes se positionnent pour ravir la place au PS, et de claironner les deux seuls grands partis du pays. La droite resoudée veut garder la première place dont il occupe. Reléguant le plus grand parti de gauche, le PS à la...troisième place. Tandis que, le Front National, avec à sa tête, Marine Le Pen, ne cache pas son ambition de grimper et devenir le second grand parti de France.

 

Sentant le danger, Harlem Désir tire la sonnette d'alarme pour dire : "Il faut barrer le chemin aux extrêmistes ! Il ne faut surtout pas que les idées du Front National triomphent. Encore moins, laisser la place à Marine Le Pen!"

En menant la liste Ile-de-France pour les européennes de l'année prochaine, Harlem Désir pourrait sortir de son isolement politique. A condition de gagner, bien sûr. Sur le compteur, les socialistes ont perdu huit élections depuis que la gauche gouverne.

 

Le Part5i socialiste français, ce sont les 170.000 adhérents. Harlem Désir doit ramener les nouveaux adhérents. Pour l'instant, on ne se bouscule pas au siège de la rue Solférino. Au contraire. Le plus étonnant, c'est que le peuple de gauche a des réserves et la capacité de se mobiliser. Mais cette gauche est parfois déçue. La France de Hollande et Ayrault est moins attractive.On dirait qu'il manque quelque chose à cette France-là pour faire adhérer le peuple de gauche qui n'attende qu'un signal. C'est vrai que la situation est difficile. C'est donc la tâche du premier secrétaire du parti de lancer le mouvement de ce peuple de gauche. Dépassé le seul socialiste pour ratisser large : les Radicaux de Gauche, présidé par Jean-Michal Baylet ; le Mouvement républicain et citoyen, de Jean-Pierre Chevènement ; les écologistes de l'EELV, (Europe Ecologie-Les Verts, et pourquoi pas aller jusqu'à grignoter vers les extrêmes-droites !  Pour agrandir la famille de peuple de gauche, il faut rassembler même les gens qui n'ont pas toujours la même sensibilité mais dont se reconnaissent être de 'gauche'. Le travail de Harlem Désir est immense. Il doit réussir ce pari. 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 06:33


 
Les ministres du Pétrole d'Angola et de l'Algérie, ont créé, mardi, à Luanda, un groupe de travail pour tracer un itinéraire qui identifiera les futurs domaines de coopération entre les deux pays.


Se confiant à la presse, après une réunion des délégation angolaise et algérienne, conduites par les titulaires du secteur du Pétrole et Gaz, le ministre angolais du Pétrole, José Botelho de Vasconcelos, a déclaré que le pays envisageait, en ce moment, impulser et approfondir les relations avec l'Algérie dans le domaine de l'Industrie, vu que ce pays est bien développé dans ce domaine.


Botelho de Vasconcelos a indiqué qu'après l'indépendance d'Angola, l'Algérie avait formé plusieurs cadres moyens et supérieurs angolais dans le domaine du pétrole.


Selon le gouvernant angolais, il est nécessaire de profiter de l'expérience de ce pays, expliquant qu'une grande partie de cadres qui travaillent dans le secteur étaient des Algériens.


Il a également informé qu'il existait déjà un protocol de coopération entre les instituts de formation dans le secteur du pétrole de deux pays, basé principalement sur la définition de divers cursus et cours.


“Nous avons une institution qui va maintenant se dédier à la formation d'ingénieurs dans l'avenir, ce qui permettra le développement et la mise à profit de la coopération et du potentiel de chaque pays dans le futur", a informé le gouvernant.


Quant au projet Angola LNG, le titulaire du portefeuille du Pétrole d'Angola a dit avoir abordé cette matière avec son homologue.


L'Algérie a une expérience de longue date dans le domaine du gaz qui pourra être transmise au pays dans le domaine de formation.


Le ministre algérien, Youcefi Yousfi, a affirmé qu'il avait été débattu durant la rencontre, toutes possibilités de coopération entre les deux ministères et également les entreprises Sonangol (Angola ) et Sonatrach (Algérie).


Selon le gouvernant algérien, les parties ont accepté de créer des groupes de travail et de préparer un itinéraire qui va identifier les secteurs de coopération.


“Les parties sont également d'accord de réunir des ressources nécessaires et toutes les possibilités existent pour pouvoir établir un partenariat à long terme", a-t-il souligné, affirmant que les relations entre les deux pays étaient très anciennes, fraternelles et politiques.




 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 06:18


L'Angola est un pays dont l’économie est majoritairement pétrolière où la production de pétrole représente  40 à 50
pour cent du produit intérieur brut (PIB) et environ 75 pour cent des recettes fiscales, ce qui rend le trésor national recueille constamment  de l'épargne en devises, a déclaré jeudi, à Luanda, le ministre des Finances, Armando Manuel.

 

Le ministre qui s'exprimait à la cérémonie de clôture du troisième forum «Banque sur le nouveau régime cambial du secteur pétrolier", a déclaré les enseignements tirés par l'Angola depuis l'indépendance et la création de la monnaie souveraine confirment le rôle stratégique des opérations cambiales.

 

Armando Manuel a déclaré que ce rôle stratégique a été également important dans le développement du marché financier et l'équilibre des comptes publics.

 

"La politique macroéconomique de chaque pays doit être construite non par imitation  mais par une connaissance approfondie de la réalité nationale", a-t-il encore déclaré.

 

"L'Angola dont la monnaie, bien que n'étant pas convertible dans d'autres pays, est soutenue par une action vigoureuse de dollars en recettes d'exportation (environ 90%) dans le PIB (environ 66%) des recettes fiscales (environ 75 %) et des dépôts du système bancaire d'environ 55%.



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