Le blog de Le Blog de Nsasala

    Le premier ministre caverdien, José Maria Neves, a déclaré mardi, à Luanda, que l’Angola avait crée des nouveaux paradigmes constitutionnels qui doivent servir de référence en Afrique.

        
     Le Chef du gouvernement du Cap-Vert a tenu ces propos, peu avant de quitter la capitale angolaise, où il a abordé avec le Président José Eduardo dos Santos, des questions liées à la coopération bilatérale.

           
    “L’Angola a plus d’expérience dans la construction de nouveaux paradigmes constitutionnels qui doivent devenir une référence et un objet d’étude pour les partis progressistes en Afrique pour que nous puissions construire des Etats qui tiennent compte des besoins, des demandes et des exigences des africains”, a-t-il dit.

        
    Selon lui, l’Angola est parti très loin dans l’approbation de la nouvelle constitution, en créant des nouveaux modèles qui sont des références pour le Cap-vert et pour d’autres pays africains.

       
    L’étude de la constitution angolaise fera que les Etats reflechissent sur  la nouvelle vision du développement et dans un agenda claire pour la dignité des africains, en tenant compte des aspects sociaux et politiques d’Afrique et du dessein de ses institutions, a-t-il dit.

       
    En séjour au pays depuis lundi, le Premier ministre du Cap-Vert est à la tête d’une délégation composée du ministre de l’Environnement, José Maria Veiga et du secrétaire d’Etat à l’Economie, Humberto Brito.

Des habitants du Cachemire indien ont défié mardi un couvre-feu des autorités pour descendre dans la rue en signe de
colère après la mort d'un garçon de 11 ans tué la veille par des tirs de la police.

De jeunes hommes, nombre d'entre eux arborant des masques pour ne pas être identifiés, scandaient des slogans en faveur de l'indépendance de la région à majorité musulmane et brûlaient des pneus pour bloquer les accès routiers.

Lundi, un garçon de 11 ans a été tué par la police dans la ville d'Anantnag, dans le sud du Cachemire indien, lors d'une violente manifestation séparatiste. De précédentes informations lundi indiquaient que l'enfant était âgé de 9 ans.

Depuis le début de la vague de violences qui s'est emparée de la région après la mort d'un étudiant de 17 ans tué par une grenade lacrymogène de la police en juin, au moins 65 personnes ont été tuées par les forces de sécurité lors de manifestations contre l'administration indienne. Chaque nouvelle mort a provoqué de nouvelles manifestations violentes en dépit des stricts couvre-feux imposés par les autorités.

Dans la capitale d'été du Cachemire indien, Srinagar, un cousin d'un important dirigeant séparatiste, Yasin Malik, a par ailleurs été grièvement blessé lundi par des tirs de la police.

Selon des témoins, la police a ouvert le feu quand des jeunes hommes jouaient à un jeu de société devant le domicile de M. Malik, à la tête du mouvement pro-indépendant du Front de libération de l'Etat du Jammu et Cachemire.

Le chef d'Etat-major de l'armée zimbabwéenne,le général Constantine Chiwenga, a reçu lundi, à Harare, l'inspecteur général des Forces armées angolaises (FAA), le général Rafael Sapilinha, en marge de la réunion extraordinaire des inspecteurs de la Communauté de Developpement de l'Afrique australe (SADC), ouverte le même jour.

Au cours de l'audience, le général Sapilinha a dressé le bilan des actions réalisées par le groupe de travail d'inspecteurs de défense de la SADC, dont il est le président sortant.

Etaient présents à l'audience, les inspecteurs de l'Afrique du Sud et du Zimbabwe, respectivement les majors-généraux Mxosili Petane et  Eneeldbrt Abel, en leur qualité de membre de la troïka du groupe de travail avec l'Angola.

Outre l'audience, le général Rafael Sapilinha  visitera le Centre Régional d'Appui et de Maintien de Paix au sein de l'organisation sous régionale.

La rencontre sera marquée par la remise et reprise entre l'inspecteur angolais et son homologue du Zimbabwe.

La mission des inspecteurs de défense est vérifier l'utilisation des ressources humaines, matérielles, financières et des postes à la disposition des effectifs de la Force en Etat d'Alerte de la SADC.

Le gouverneur provincial de Huambo en exercice, Lotti Nolika, a souligné dimanche, à Katchiungo, le rôle prépondérant que joue la femme dans le soin, l'éducation des nouvelles générations et dans la production pour le bien familial et le progrès social.

Lotti Nolika a tenu ces propos à la clôture du premier Campement National de la Femme de l'IECA, regroupant 7.570 représentantes de cette couche sociale, venant des 18 régions du pays, qui s'est déroulé sous le thème intitulé "Agrandissement de l'espace de sa tente", dans la mission Evangélique de Dondi, municipalité de katchiungo.

 
"Dans notre pays, la femme est la principale force sociale dans l'éducation, la commercialisation sur les marchés informels et dans le soin et éducation des nouvelles générations. Elles jouent un rôle prépondérant pour le développement et progrès social", a-t-elle souligné.

 
Pour la gouvernante, les femmes devaient contribuer à la lutte et aux dénonciations des cas de violence sexuelle aux mineurs, de l'usage excessif
d'alcool qui deviennent davantage une culture très dangereuse au sein de la société, et a réitéré la nécessité de l'église comme partenaire social du Gouvernement, de tout faire pour changer ce cadre.

 
Le premier Campement national de la femme de l'Eglise Evangélique Congrégationnelle en Angola (IECA), qui s'est déroulé du 26 au 29 courant,
à la Mission de Dondi, municipalité de Katchiungo, a été marqué par la tenue de cycles de séminaires sur l'histoire de la fondations de missions, entre autres.

Le comportement de la femme dans le foyer, la durabilité de l'église, la femme et la santé du corps, la femme et l'émancipation, ainsi que des visites aux sites historiques de la municipalité de Katchiungo faisaient partie de l'agenda de travail du campement de la femme de l'IECA.

Six personnes sont mortes et 52 autres grièvement blessées dans 50 accidents de route survenus la semaine dernière dans la province de Uíge, a appris l’Angop lundi  des sources policières locales.

Selon le chef du bureau de sécurité, circulation et prévention routière, l’intendant Morais de Oliveira, il y  a eu une augmentation significative la semaine dernière, par rapport à la semaine antérieure allant du 16 au 21 août, où des accidents ont fait un mort et dix-neuf blessés.

Morais de Oliveira a informé que ces accidents sont survenus sur les tronçons routiers Uíge/Negage, Mucaba, centre de la ville de Uíge, e tdans les quartiers Dunga, Papelão, Bungo et Caquiuia.