L'Angola est ouvert à qui veut produire des médicaments et le Portugal détient un grand potentiel à cause de la langue commune, a affirmé mardi, le ministre de la Santé, José Van-Dúnem.
Le gouvernant intervenait dans une rencontre qu'il a maintenue avec l'INFARMED (autorité nationale du médicament et produits de santé) des représentants des industries pharmaceutiques portugaises.
"L'Angola est ouvert à qui veut fabriquer des médicaments et le Portugal peut devenir un potentiel dans l'industrie pharmaceutique à cause de la langue commune", a-t-il affirmé.
Selon le gouvernant, en Angola, il n'y avait presque pas une fabrique de médicaments et que c'était un pays avec des millions d'habitants, avec un modèle épidémiologique qui ne devra pas être néglisé par l'industrie pharmaceutique portugaise.
Sur le liens de coopération, le ministre angolais de la Santé a réaffirmé l'affection que l'Angola a envers l'INFARMED, pour le travail qu'il développe d'appui au Gouvernement angolais, à travers la Direction Nationale de Médicaments et Equipements, pour garantir que les médicaments importés en Angola ne soient pas piratés, mais avec qualité, assurant ainsi plus et mieux la santé aux Angolais.
L'un des grands problèmes des pays est la lutte contre la contrefaction et l'Angola importe presque exclusivement la totalité de médicaments, ce qui est une grande opportunité d'affaires pour celui qui exporte et celui qui est dans le circuit du pays et du point de vue de l'industrie et du commerce de médicaments, c'est une grande occasion pour le Portugal et pour celui qui commecialise.
L'objectif principal est de plus en plus d'améliorer la santé des Angolais et ceci implique la mise à la disposition de la population, des médicaments à des prix plus raisonables, ce qui va aider davantage la vie des Angolais.
Dans l'entre-temps, le ministre a invité les entreprises et industries pharmaceutiques portugaises à visiter l'Angola pour une meilleure interaction.