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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 08:40


Les fonctionnaires de la Direction provinciale de la pêche, des associations de paysans et de l'agriculture dans la province de Bengo (nord), participent à partir de ce mercredi, à Caxito, à un séminaire  asur l’aquaculture, sous l'égide du Ministère de la Pêche.

Le séminaire de deux jours, organisé par la Direction provinciale de la pêche, vise à élucider les participants sur les avantages et les inconvénients de l'aquaculture, afin d'encourager cette activité dans cette région du pays.


D'autre part, les participants analyseront des questions liées à l'aquaculture communale et commerciale, à la la santé et à la qualité de l'eau dans l'aquaculture.


Dans le cadre du plan de promotion de l'aquaculture en Angola, le Ministère de la Pêche a prévu des séminaires similaires dans les provinces de Kwanza Norte et Malange.


L'aquaculture est l'élevage des poissons, mollusques, des crustacés, et la culture des plantes aquatiques pour l'usage de l'homme.



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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 08:35



Le Directeur National de la Police Economique, le commissaire António Pereira Freire dos Santos a qualifié mercredi, à Luanda, d’inquiétante l’implication des fonctionnaires de diverses institutions publiques, privées et bancaires, en falsifiant de chèques et autres actes illégaux qui conduisent au détournement de grandes sommes d’argent destinées aux coffres de l'Etat.

 

 


Le commissaire Antonio dos Santos a tenu ces propos à la cérémonie de clôture du 14ème Conseil consultatif élargi de la Police Economique, sous le thème "la police économique attentive à la situation actuelle, en prévoyant l'avenir."

 

 


Il s’est également dit inquiétante, l’entrée de produits avec des dates de péremption dépassées ou presqu’expirées, ou de l'étiquetage en  langueétrangère, et l'existence du sur le marché national de boissons importées et de fabrication nationale avec une forte teneur en alcool, dont la plupart nocive á la santé.

 

 

La prolifération des pharmacies et des dispensaires illégaux, surtout dans les zones périurbaines, avec les travailleurs qui n’ont aucune formation professionnelle, figurent aussi sur la liste de la police économique, selon son directeur national.

 

 


Selon lui, ces manifestations de crimes économique imposent une amélioration permanente des méthodes d'enquête et de l'application correcte des règles de droit, pour se prévenir de cas, qui ont causé des dommages considérables à l'économie nationale."

 

 

La lutte contre la criminalité économique exige que les effectifs de cet organe soient dotés de connaissance suffisante sur les phénomènes économiques qui pourraient menacer l'ordre économique, a conclu le commissaire Antonio dos Santos.

 

 




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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 08:30

 

   
 
 



 Les petits et moyens entrepreneurs dans le domaine de la santé, ainsi que les pharmacies pourront, dorénavent, bénéficier des crédits qui varient entre 100 mille à deux millions de kwanzas, sur base d'un protocole financier signé jeudi, à Luanda, entre la "Banco Sol" et l'entreprise Mosel, liée à la distribution des médicaments.


L'accord, d'une duré de trois ans et signé par le Président Exécutif de la "Banco Sol", Coutinho Nobre Miguel, et par l'Administrateur général de Mosel, Jorge Faria, permettra que les pharmacies, ou mieux, les clients de Mosel, puissent avoir accés au crédit avec des taux d'intérêts attractifs.


A propos du protocole qui aidera aussi les vendeurs ambulants à s'organiser et légaliser leurs activités, le gestionnaire de la "Banco Sol" a expliqué, à l'occasion, que les taux d'intérêts variaient de 3,6 pour cent à  4,71 pour cent/an, tandis que les délais de remboursement vont de 12 à 18 mois.


Selon lui, avec ce partenariat, les conditions sont créées pour que l'industrie pharmaceutique nationale puisse fonctionner en harmonie avec les principes et règles que toute société organisée doit exiger.


Pour la mise en oeuvre de cette initiative, la banque pourra  mettre à la disposition des pharmacies intéressées à acquérir les produit de Mosel, d'une valeur globale de 50 millions de kwanzas, mais le montant pourra être ajusté en fonction des nécessités des clients, pouvant mêmes atteindre 300 ou 400 millons de kwanzas.




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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 08:25


Le vice- gouverneur de la Banque Nationale d'Angola (BNA), André Lopes, a annoncé vendredi, à Luanda, que la Commission Économique du Conseil des Ministres, qui s'est réunie à Luanda, a apprécié le bilan de la stabilité du système bancaire du pays au cours du deuxième trimestre 2013.


 
Se confiant à la presse à l'issue de la 7ème session ordinaire de l'organe auxiliaire du Président de la République, le vice- gouverneur de la BNA a déclaré qu'avec l'analyse du document, on cherchait à caractériser l'évolution du système bancaire durant cette période.


 
Selon lui, il a été conclu que les actifs du système bancaire avaient continué à évoluer positivement, marquant une croissance de 6,19 pour cent par rapport au mois de juin 2012.


 
Cet aspect, a-t-il poursuivi, est principalement dû à l'augmentation significative du volume de crédit qui a accru à l'ordre de 14,59 pour cent, au cours de la même période.

 

André Lopes, qui a représenté la banque centrale dans cette réunion, a affirmé qu'à l'égard du secteur bancaire, les membres de la commission économique avaient aussi évalué les composantes du passif.


 
Il a souligné que sur l'évaluation des composantes du passif, il avait été conclu qu'elle a enregistré un chiffre à l'ordre de 5,87 pour cent, en vertu de la croissance du volume des dépôts des clients des banques.


 
Selon André Lopes, toujours sur le secteur bancaire, il a été évalué l'évolution que les capitaux propres ont connue, ayant été conclu que le système continue à avoir un niveau acceptable de capitalisation, résultant de la politique de réserves poursuivue par les institutions financières bancaires.


 
"Nous avons aussi fait une évaluation de l'évolution de la liquidité du système bancaire et nous avons conclu que, du point de vue de la liquidité immédiate, le système bancaire maintient des conditions pour faire face aux engagements à court terme", a conclu le gestionnaire.




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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 08:20


Les agriculteurs associés aux sept associations et 11 coopératives de la commune de Kutenda, à 62 kilomètres du siège municipal de Chicomba, province de Huila, ont sollicité vendredi des instruments agricoles pour augmenter la production et éradiquer la famine et la pauvreté.

 
Le président de la Coopérative Ndumbo Pomba a assuré que plus de mille agriculteurs associés avaient besoin de micro-crédits et des moyens de transport, ainsi que d'autres motivations pour accroître la production.

 
"Ces agriculteurs ont exposé leurs préoccupations à l'administration locale, souhaitant que la situation soit résolue le plus rapide possible, pour que la localité augmente les taux de production agricole et contribue à l'éradication de la famine", a-t-il expliqué

 
Il a ajouté que Kutenda avait des terres fertiles, de l'eau en abondance pour que les paysans puissent contribuer positivement au développement de l'agriculture dans la région.

 
Chicomba se situe à 220 km au nord de Lubango, province de Huila, avec 110.000 habitants.



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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 08:16


 

 "Ils nous disaient que c'était le meilleur endroit où vivre", se rappelle Luiz Martins Neto, qui s'est installé en 1989 à Sao Felix do Xingu, localité amazonienne considérée à l'époque comme un eldorado avant de tourner le dos à la déforestation, selon l'AFP.

 


Luiz, âgé de 54 ans, a délimité sa première propriété comme les autres: à coups de hache et de flammes.

 


"A l'époque, plus tu déforestais, meilleure était ta vie et plus vastes étaient tes terres", se souvient encore Luiz en évoquant l'époque de la politique d'occupation de la plus grande forêt du monde, à son apogée sous la dictature (1964-85).

 


Aujourd'hui, Luiz participe à un projet modèle agricole exploitant les terres déjà déboisées sans toucher à la forêt. Il doit aussi replanter des arbres pour se mettre en conformité avec le nouveau Code forestier voté en 2012, qui contraint chaque propriété privée à conserver 80% de forêt.

 


"On apprend à bien faire les choses", sourit-il sous son chapeau de paille.

 


devant lui, sur la pelouse de sa petite ferme, trône un énorme tronc mort de "castanheira", le châtaigner local, vestige de campagnes de déforestation révolues.

 


L'histoire de Luiz ressemble à celle de beaucoup d'autres à Sao Felix do Xingu, immense municipalité du sud-est du Para (nord), qui abrite environ 90.000 habitants sur une superficie similaire à celle du Portugal.

 


Le Para est pour moitié constitué de réserves, mais il abrite également des élevages extensifs -avec environ 2 millions de têtes de bétail recensées- et fait l'objet de convoitises des multinationales minières.

 


"L'entrée de l'homme blanc a été comme le courant d'un fleuve: il avance, il avance, sans jamais reculer", soupire Amaury Bepnhoti Ayudjare, membre de l'ethnie indigène kayapo, dont le territoire a subi les affres du déboisement.

 


Il y a encore 10 ans, les feux de forêt et la poussière soulevée par les camions transportant les arbres abattus empêchaient toute vision lointaine, se souvient-il.

 


"Sao Felix do Xingu était le champion de la déforestation. En 2008, le gouvernement a publié une liste des municipalités où l'on déboisait le plus, et nous avions été classés numéro un. Mais aujourd'hui, nous sommes ceux qui ont le plus réduit la déforestation, passant de 2.500 km2 en 2000 à 169 km2 l'année dernière", s'enorgueillit le maire Joao Cleber.

 




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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 08:05


    
Dans la baie de Gibraltar, Francisco Gomez remonte ses filets chargés de palourdes : "rien à voir avec les coquillages qu'on pêche là-bas", déplore ce pêcheur espagnol en désignant une zone où il ne peut plus accéder depuis des jours.

 


Patron du "Divina Providencia", un vieux bateau de pêche de huit mètres battant pavillon espagnol, Francisco Gomez, âgé de 51 ans, pêchait depuis des années dans une zone où Gibraltar a décidé le 24 juillet de construire un récif artificiel en béton.

 


Le gouvernement de l'enclave britannique affirme que le récif permettra aux bancs de poissons de se régénérer mais les pêcheurs d'Andalousie, région d'Espagne durement frappée par la crise économique, rétorquent qu'on les prive ainsi de l'un de leurs meilleurs viviers, selon l'AFP.

 


"Là-bas, on peut pêcher entre 30 et 60 kilos par jour de coquillages qu'on nous paye neuf euros le kilo tandis qu'ici, ceux qu'on attrape ont les coquilles plus fines et se vendent à deux euros le kilo. Et en plus on en trouve moins", explique Francisco Gomez.

 


"On est arrivés ici il y a six heures, à 5H00 du matin, et on a remonté 40 kilos", se désole-t-il pendant que deux autres pêcheurs, Juan et Salvi, vident les chaluts avant de déplacer un peu leur bateau, toujours très près de la côte et de les relancer à la mer.

 


"Si on faisait la même chose là-bas", explique Francisco Gomez en désignant la zone du récif, à moins de 1.500 mètres, "les filets s'accrocheraient aux blocs et on casserait le bateau en deux".

 


Gibraltar, qui n'a pas de flotte de pêche commerciale, affirme que les navires espagnols pratiquent une pêche intensive qui épuise les réserves. L'enclave voudrait leur imposer une loi de protection de l'environnement que l'Espagne rejette, considérant que les eaux de la zone sont sous sa souveraineté.

 


"Je pense que nous les pêcheurs en savons plus sur l'écologie que les politiques", lance Francisco Gomez, qui explique avoir été accusé en mai par les autorités de Gibraltar "d'être entré dans les eaux britanniques, de pêche illégale, de navigation imprudente et d'outrage aux autorités".
   




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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 08:01


    

Le 19 août 2003, un kamikaze faisait exploser un camion piégé contre le QG des Nations unies à Bagdad, tuant 22 personnes. Cet attentat a profondément changé la façon de travailler de l'ONU en Irak, où l'organisation a dû renforcer ses mesures de sécurité.

 


Sur le site de l'attaque, qui avait fait la Une des médias du monde entier, peu de choses ont changé en dix ans.

 


Du métal rouillé pend de la structure de l'ancien Canal Hotel, qui abritait alors le siège de l'ONU. Le bâtiment, aujourd'hui abandonné, est recouvert de gravats et de poussière. Sur le sol, au milieu des décombres, gît un casque bleu des Nations unies.

 


Marwan Ali, alors officier politique pour les Nations unies, a échappé de peu à l'attaque, qui a notamment tué l'envoyé spécial de l'ONU à Bagdad, Sergio de Mello.

 


Juste avant l'explosion, M. Ali a quitté une partie du bâtiment --qui a été complètement détruite-- pour se rendre dans son bureau. La déflagration l'a projeté au sol, sans le blesser.


Immédiatement après, "je suis retourné sur mes pas. J'ai trouvé (un ami) mort, de même qu'un autre collègue", raconte à l'AFP M. Ali, maintenant directeur des affaires politiques de l'ONU en Irak.

 


Salim Lone, porte-parole de la mission de l'ONU en 2003, a lui aussi eu de la chance.

 


Alors qu'il était prévu qu'il se rende à une réunion dans le bureau de M. de Mello, il avait dû rester travailler sur un communiqué dans le sien, situé de l'autre côté du hall.


    




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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 07:55


   
Le Conseil de coopération du Golfe (CCG) a condamné l'attentat ayant fait 22 morts jeudi dans un bastion du Hezbollah chiite dans la banlieue sud de Beyrouth, a appris l'AFP.

 


"Cet acte criminel et honteux est une attaque contre la sécurité et la stabilité du Liban", a déclaré dans un communiqué le secrétaire général du CCG, Abdelatif Zayani.

 


L'attentat à la voiture piégée au coeur d'un quartier chiite densément peuplé a visé "la cohabitation pacifique au Liban, en semant la sédition" parmi les différentes communautés du pays, a-t-il ajouté.

 


Le CCG, qui regroupe Bahreïn, le Koweït, Oman, le Qatar, l'Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis, a décidé en juin d'imposer des sanctions aux membres du Hezbollah vivant dans ses Etats membres, en raison du soutien militaire apporté par le mouvement chiite aux forces du président Bachar al-Assad combattant la rébellion en Syrie.

 


Le secrétaire général du CCG a appelé les différents groupes à "ne pas donner d'espace aux vandales, aux chantres de la sédition et aux terroristes", affirmant que le CCG se tenait aux côtés du Liban "contre tout ce qui menace sa stabilité".

 


L'attentat, qui a également fait 325 blessés, a été revendiqué par un groupuscule totalement inconnu portant un nom à connotation sunnite dans une vidéo qui n'a pas pu être authentifiée.

 


Le leader du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a accusé vendredi les takfiris (extrémistes musulmans sunnites) d'être à l'origine de l'attaque.

 


Cet attentat, le plus sanglant en trois décennies ayant frappé la banlieue sud de Beyrouth, a eu lieu six semaines après une précédente attaque qui avait fait une cinquantaine de blessés dans ce quartier le 9 juillet.

 




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18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 07:50

 

 

Le parti islamiste au pouvoir en Tunisie a indiqué réunir samedi son parlement interne pour étudier des initiatives visant à sortir le pays de la crise provoquée fin juillet par l'assassinat d'un opposant et éviter qu'il ne bascule dans la violence.
              

"Il existe plusieurs initiatives sérieuses et nous espérons atteindre une solution qui éviterait à la Tunisie de se diriger vers la violence", a déclaré un responsable du parti Ennahda, Houcine Jaziri, à la radio Shems-FM, sans détailler ces "initiatives".
              

La réunion du Conseil de la Choura, le parlement interne du parti, intervient alors que des pourparlers sont censés avoir lieu lundi entre Ennahda et le puissant syndicat UGTT pour tenter de trouver une solution à la crise politique déclenchée il y a près d'un mois par l'assassinat du député Mohamed Brahmi.
              

Ennahda, l'opposition et l'UGTT campent depuis le début de la crise sur leurs revendications respectives.
              

Les opposants veulent un gouvernement apolitique et la dissolution de l'Assemblée nationale constituante (ANC), tandis que les islamistes ne sont prêts qu'à élargir le gouvernement existant à d'autres partis en vue de former un cabinet d'union nationale.
              

L'UGTT, soutenue par le patronat Utica, a adopté une position médiane, plaidant pour la mise en place d'un gouvernement apolitique et le maintien de l'ANC pour qu'elle achève enfin la Constitution.
              

Ennahda a accusé ses détracteurs de s'inspirer de la situation en Egypte et de chercher à fomenter un coup d'Etat.
              

Les opposants organisent des manifestations quotidiennes depuis l'assassinat de M. Brahmi mais la mobilisation est en perte de vitesse depuis une manifestation le 13 août qui a réuni des dizaines de milliers de personnes à Tunis.
              

L'UGTT, forte de 500.000 membres et capable de paralyser le pays par des grèves, a une nouvelle fois réclamé dans un communiqué samedi une solution rapide, relevant que la situation économique et sociale en Tunisie risquait de se détériorer plus encore.




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