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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 09:42


Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté lundi à Hong Kong à l'occasion du 16e anniversaire de la
rétrocession de l'ancienne colonie britannique à la Chine afin de réclamer plus de démocratie et, pour certains, la démission du chef de l'exécutif inféodé, selon eux, à Pékin.

 


Comme en 2012, les organisateurs avaient dit espérer plus de 400.000 participants à cette manifestation désormais rituelle pour les militants pro-démocratie qui dénoncent l'immixtion croissante de la Chine populaire dans les affaires de la Région administrative spéciale de Hong Kong.

 


Mais il n'était guère plus de 50.000, selon les médias locaux, à marcher sous les trombes d'eau dues à la tempête tropicale Rumbia, entre le Victoria Park et le quartier des Affaires, Central, où siège le gouvernement.

 


Sous le regard interloqué de nombreux touristes chinois, les manifestants ont demandé la démission de Leung Chun-Ying, le chef du gouvernement local élu par un collège de grands électeurs dont une majorité est réputée pro-Pékin.

 


"L'objectif principal de la manifestation est de demander une vraie démocratie et d'exiger la démission de Leung Chun-Ying", a déclaré à l'AFP Jackie Hung, du Civil Human Rights Front, promoteur de l'événement.

 


Des manifestants portaient des banderoles "La démocratie, maintenant" ou "A bas le Parti communiste chinois". D'autres distribuaient des petits drapeaux de l'époque coloniale, un phénomène récent qui agace fortement à Pékin.

 


"L'interventionnisme du continent (la Chine populaire, NDLR) a atteint un degré tel qu'on a l'impression que Pékin veut prendre le contrôle" de Hong Kong, a confié à l'AFP un jeune manifestant, Yu Lap-kan, 15 ans.

 


Le gouvernement n'a pas fourni ses propres estimations sur le nombre attendu de participants.




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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 09:26



Le programme mis en place par les Etats Unis pour espionner leurs partenaires de l'UE a causé une "rupture de confiance" et pourrait déclencher une "crise politique sérieuse", ont confié lundi à l'AFP plusieurs sources européennes.

 


La représentante de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, a demandé au secrétaire d'Etat américain John Kerry de "clarifier au plus vite" la situation.

 


La commissaire européenne en charge de la Justice, Viviane Reding, est également entrée en lice pour demander au ministre de la Justice américain, Eric Holder, de respecter son engagement de fournir toutes les indications sur le programme de surveillance Prism. Ses demandes sont pour l'heure restée sans réponses.

 


Un groupe de travail mis en place entre l'UE et les Etats-Unis pour "échanger des informations sur les volumes de données collectées par Prism et les garanties pouvant être apportées par les Etats Unis pour les citoyens de l'UE" doit se réunir début juillet. "On verra ce qu'on obtiendra", a commenté un représentant de l'UE.

 


Mais le programme d'espionnage électronique des ambassades et délégations de l'UE et de ses Etats membres dépasse Prism et la protection des données.

 


"Si c'est vrai que les Américains ont espionné leurs alliés, il y a aura des dégâts politiques. Cela dépasse de loin les besoins de sécurité nationale. C'est une rupture de confiance et on est parti pour quelque chose de très sérieux", a confié à l'AFP un responsable européen.

 


"Je crois que les Américains ont très bien compris que c'était très sérieux et nous attendons la réponse de Washington", a-t-il expliqué.

 


La Direction nationale du renseignement américain (ODNI) a annoncé dimanche que les Etats-Unis allaient "répondre de façon appropriée" par les canaux diplomatiques aux demandes d'explication de l'UE.




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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 09:23

 



Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a déclaré lundi à son homologue européenne Catherine Ashton que la recherche d'informations sur d'autres pays n'était "pas inhabituelle".

 


Rencontrant son homologue européenne Catherine Ashton, le chef de la diplomatie américaine a refusé de faire un commentaire direct sur la controverse suscitée par les allégations d'espionnage par l'Agence nationale de sécurité (NSA), qui aurait visé les institutions de l'UE et des millions de citoyens européens, selon des médias.

 


"Lady Ashton a en effet évoqué (la question, ndlr) avec moi aujourd'hui et nous avons convenu de rester en contact. J'ai accepté de chercher à découvrir exactement de quoi il s'agit et je lui ferai part de mes conclusions", a déclaré M. Kerry à la presse.

 


"Je dirai que chaque pays dans le monde qui est impliqué dans les affaires internationales, de sécurité nationale, exerce de nombreuses activités afin de protéger sa sécurité nationale et toutes sortes d'informations qui peuvent y contribuer", a-t-il ajouté.

 


"Tout ce que je sais, c'est que cela n'est pas inhabituel pour un grand nombre de pays".

 


"Mais je ne ferai pas plus de commentaires avant d'avoir tous les faits et de savoir exactement de quoi il en retourne", a-t-il ajouté.

 


M. Kerry s'entretenait avec Mme Ashton en marge d'une réunion des ministres des Affaires étrangères d'Asie-Pacifique au Bruneï, un petit sultanat situé sur l'île de Bornéo, en pleine polémique sur l'espionnage américain.




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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 09:11



    
L'Inde devait lancer lundi la première phase de son propre système de navigation par satellite, similaire à celui du
GPS américain, qui devrait permettre de fournir des services à la population civile et aux militaires, ont annoncé des responsables.

 


Dans le cadre de la mise en place de ce système, baptisé IRNSS (Système régional indien de navigation par satellite), une fusée devant mettre en orbite le premier des sept satellites sera lancée à 23H41 locales (17H41 GMT) depuis un pas de tir situé dans l'Etat du l'Andhra Pradesh (sud-est).

 


Le lancement de ce premier satellite intervient quelques mois après le lancement par la Chine de son propre système de navigation par satellite, Beidou.

 


"Le système (indien) a été localement construit pour fournir des services d'informations de localisations précises à des utilisateurs dans l'ensemble du pays et jusqu'à 1.500 km hors de nos frontières", a indiqué le directeur du Centre de recherche spatiale (Isro), Devi Prasad Karnik.

 


"Le satellite de 1.425 kg sera mis en orbite 20 minutes après le lancement", a précisé à l'AFP M. Karnik à Bangalore (sud), là où est basé l'Isro.

 

Un nouveau satellite sera lancé tous les six mois, le système IRNSS devant être complètement opérationnel à l'horizon 2015, a indiqué l'agence spatiale. Ce système fournira des services de navigation commerciaux, aidera à la gestion des catastrophes naturelles et permettra aussi d'aider l'armée de l'air et la marine dans leurs mouvements.

 


Selon les autorités indiennes, ce projet représente 14,2 milliards de roupies (environ 183 millions d'euros).

 


L'Inde a mis en place un programme spatial qui est une source de fierté nationale mais son coût élevé fait grincer des dents dans un contexte de ralentissement de la croissance économique, qui empêche de lutter efficacement contre la pauvreté endémique et la malnutrition infantile dans ce pays émergent de 1,2 milliard d'habitants.




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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 08:58


 

 

Le pape François, "profondément touché" par le récent naufrage d'une embarcation avec des immigrés africains à bord, se rendra lundi prochain sur la petite île italienne de Lampedusa au large de la Sicile, a annoncé le Vatican dans un communiqué.

 


Le pape entend "prier pour ceux qui ont perdu la vie en mer, rendre visite aux survivants et réfugiés présents et encourager les habitants de l'île", où des milliers d'immigrés clandestins accostent chaque année en provenance d'Afrique, précise le Saint-Siège.




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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 08:52


Une délégation angolaise conduite par le secrétaire d’Etat aux Relations Extérieures, Manuel Domingos Augusto, a participé samedi dernier en Alger, République d’Algérie, à la 383ème réunion ministérielle du Conseil de Paix et Sécurité de l’Union Africaine.

 

À la  rencontre dont le thème principal était ‘‘la réconciliation nationale, comme facteur clé pour la paix et le développement de l’Afrique’’, Manuel Augusto a présenté l’expérience angolaise de réconciliation nationale qui a été valorisée par les participants de la  rencontre du Conseil de Paix et Sécurité (CPS).

 

Le Conseil de Paix et Sécurité a publié un communiqué et devra présenter un projet d’élaboration sur ce thème qui sera adopté par la conférence des Chefs d’État et de gouvernement de l’Union Africaine.

 

La République d’Algérie assume actuellement la présidence du CPS.




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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 08:03

 

 

 

L'ambassadeur de la Palestine en Angola, Najah Al Rhman, s’est dit lundi, à Luanda, satisfait de l'état des relations entre les deux pays et a révélé que son gouvernement avait l'intention de les renforcer dans un avenir proche, avec la coopération économique  mutuellement avantageux.


Dans une déclaration à la presse, Najah Al Rhman a précisé que le souhait des autorités gouvernementales palestiniennes était de progresser encore cette année avec des propositions conduisant à la signature des accords dans divers domaines.


Palestine a l'intention de coopérer avec l'Angola dans la technique et scientifique, de l'industrie, la santé, l'éducation, l'agriculture, le commerce, la culture, y compris les investissements dans plusieurs autres secteurs.


La Palestine veut coopérer avec l’Angola dans les domaines technique et scientifique, industriel, santé, entre autres.


«La Palestine est l'un des pays plus développés sur le plan scientifique, avec une forte expérience dans le domaine de l'ingénierie, de la médecine, de l'éducation, occupe la première place dans le monde arabe en termes de culture", a-t-il souligné.


Selon le diplomate, une délégation gouvernementale palestinienne visitera Luanda dans un bref délai pour des rencontres officielles avec les autorités angolaises.


Najah Al Rhman a encore précisé que sur le plan diplomatique, il y a déjà eu des rencontres préliminaires entre les deux parties qui visent à encourager et à renforcer la relation de fongue date, fondée sur la solidarité politique et l'amitié entre les peuples.


Après une bataille diplomatique internationale liée aux affaires politiques internes, le gouvernement palestinien dans la période récente a consacré une attention aux questions qui facilitent la forte coopération avec l'Afrique, l'Angola est l'un des pays prioritaires, a-t-il ajouté.




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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 07:54

 

 

Le ministre des Relations Extérieures, Georges Rebelo Pinto Chikoti, séjourne depuis samedi dernier, à Addis-Abeba, en Ethiopie, où il représente le Président de la République, José Eduardo dos Santos, à la réunion de haut niveau sur un partenariat renouvelé.


A la réunion, les participants feront une approche unifiée afin d'étudier les mécanismes pour mettre fin à la famine en Afrique, rencontre coorganisée par la Commission de l'Union africaine, la Fao et l'agence du NEPAD, avec le soutien de l'Institut Lula, ainsi que le pays hôte.


La réunion du dimanche a commencé et devrait se terminer ce lundi, sous le thème: "Vers la Renaissance africaine: partenariat rénové pour une approche unifiée pour mettre fin à la famine en 2025 dans le cadre de CAADP”.


Dans la réunion ministérielle, organisée au siège de l'Union africaine, le ministre de l'Agriculture et du Développement Rural, Afonso Ganga, qui intègre la délégation angolaise à cette rencontre, présentera l'expérience de l'Angola dans la réduction de la pauvreté et de la famine.


Certaines personnalités participent à la rencontre, notamment la Présidente de la Commission de l'Union africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma, le Directeur général de la FAO, José Graziano da Silva, le président fondateur et d’honneur  de l'Institut Lula, l'ex-président du Brésil, Luiz Inácio Lula da Silva et le premier ministre d’Ethiopie et président de l’Union Africaine, Haile Marian Desalegn.




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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 07:46

 

 

L'engagement des présidents José Eduardo dos Santos, de l'Angola et Joseph Kabila Kabange, de la République Démocratique du Congo, a été mis en relief dimanche au cours des festivités du 53ème anniversaire de l'indépendance de ce pays d'Afrique Centrale pour avoir crée un mécanisme qui facile la compréhension mutuelle pour élever les relations bilatérales dans les domaines politiques, économiques, sociaux et sur la scène internationale entre les deux pays voisins .

 

Intervenant à la cérémonie qui a marqué les festivités de l'indépendance de la RDC conquise le 30 juin 1960, le chargé d'affaires de l'ambassade de la République Démocratique du Congo en Angola, Mayele Ebokwol Ghyor Bernardin, a soutenu que les deux pays travaillaient ensemble pour l'intérêt des populations.


   
"La RDC et l'Angola travaille la main dans la main et partagent les mêmes points de vue dans les relations internationales, sur la question des Grands Lacs et également dans la sous-région de la Communication de l'Afrique Australe (SADC)", a dit le diplomate.

 

Sur le plan juridique, les deux pays ont signé divers accords de coopération dans les domaines politiques et socio-culturels pour redynamiser les relations de leurs peuples en vue de créer un dévéloppement durable entre les citoyens angolais et congolais.


            
A cet effet, ils ont réactivé la commission mixte angola/RDC qui se réunit alténativement à Kinshasa ou à Luanda outre les consultations régulières entre les autorités des provinces limitrophes du Zaire et de Uíge avec le Bas-Cngo, celle de Malanje, de Lunda Norte et de Moxico avec ses congenères de Shaba, Kasai et tant d'autres.

 

Selon lui, les rencontres entre les autorités locales de l'Angola et de la RDC vise à résoudre certaines questions qui surgissent quotidiennement entre les populations frontalières de deux pays.

 




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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 07:23


L'Angola est un pays émergent avec une capacité et une certaine connaissance qui peut être extrêmement utile dans la réalité de Sao Tomé-et-Principe.

 

Le premier ministre de l'Archipel, Gabriel Costa a tenu ces propos dimanche lors d'une rencontre à Príncipe,avec les hommes d'affaires angolais qui y séjournent depuis vendredi pour établir des partenariats avec  les entreprises locales et l'identification des secteurs pour des probables affaires.

 

Il a ajouté qu'à la suite de sa récente visite en Angola, s'est réalisée une réunion en vue de susciter au sein des hommes d'affaires angolais  l'intérêt d'investir à Sao-Tomé et Principe dans le cadre du partenariat  stratégique.

 

Selon lui, ce partenariat stratégique est la reprise d'une relation basée sur un passé commun, forgé dans la lutte pour l'émancipation de la politique de deux pays et qu'actuellement  gagne une nouvelle dynamique, surtout  pour São Tomé et Principe actuellement en phase importante de son dévéloppement. 

 

 Il a affirmé que cette relation n'est pas seulement de recevoir mais également de donner parce que Sao Tomé a également certaines
potentialités et un environnement pour l'investisseur angolais puisse se sentir chez lui (...)".
    

Dans l'entretemps, la délégation d'hommes angolais, accompagnés par  le premier ministre Gabriel Costa et d'autres gouvernants de São Tomé et  Principe visiteront les secteurs prioritaires d'affaires à Principe.



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