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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 06:11


Un groupe d’hommes d’affaires de la province de Huila (sud) quitte dimanche, Lubango, chef-lieu de la province de Huila (sud), pour la ville du Cap (Afrique du sud), où ils participeront lundi, à une rencontre de promotion des exportations et investiments, a-t-on appris de source officielle.

 

La rencontre prévue de lundi à mercredi se déroulera sous les auspices de la chambre du Commerce et Industrie de la ville du Cap et de l’entreprise angolaise "Top Chela Traders Lda", qui a son siège à Lubango.

 

Dans une déclaration à l’ANGOP, le co-promoteur de l’événément pour la partie angolaise, Rosário Ima Panzo, a indiqué que la délégation commerciale sera conduite par le Consul de l'Angola à Western Cape, dans cette activité qui vise à encourager les partenariats des entreprises.

 

Il a ajouté que les membres de la Chambre du Commerce et Industrie de la ville du Cap, ainsi que d’autres hommes d’affaires suf-africains auront, à partir de cette rencontre, l’opportunité de découvrir plus sur les affaires en Angola.

 

D'autre part, il a rappelé que la province de Western Cape est la plus grande importatrice des marchandises en provenance de l’Angola, repondant à 61 pour cent d’importations d’Afrique du Sud.

 

En 2010, les importations à partir de l’Angola ont été évaluées à 8.9 milliars de rands (un rand équivaut à près de 10 kwanzas),  étant l’or noir, le principal produit.

 

Du côté angolais, a-t-il dit, il y a interêt dans les produits agricoles, de l’energie renouvelable, les produits pharmaceutiques, les denrées alimentaires et boissons, la fabrique des meubles, l’industrie d’impression, de pêche, l’industrie textile, le transport, les investissements et l’ingenierie.

 

Créé en 1804, la Chambre de commerce et Industrie de la ville du Cap est le plus ancien membre de l’organisation d’Affaires en Afrique.



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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 06:07


 

L'Angola participe du 13 au 20 juillet, à Brazzaville, en République du Congo, à la IXe édition du Festival Panafricain de musique (FESPAM).


La caravane angolaise de quatorze membres, conduite par le directeur du Ballet national, Nguizani Domingo arrive à Brazzaville le 13 juillet.


Cette édition réservée à l'échange culturel et scientifique se déroulera sous le thème "Les chansons africaines, vecteur d'authenticité et facteur d'urgence."


Outre des artistes qui se produiront dans des différents stades de Brazzaville, il est prévu un colloque international sur le même thème qui comptera sur la participation d'experts d'Afrique, des Amériques et d'Europe.


Selon un document du comité d'organisation de l'événement, les discussions se baseront sur trois dimensions (traditionnelle, moderne et tradi-moderne) des chansons africaines comme un vecteur de l'authenticité et facteur d'urgence perçu comme un objectif à atteindre pour affronter les défis du développement.


En plus de l'élection de la''Miss- FESPAM" et l'hommage à une douzaine d'artistes par le Chef de l'Etat congolais, Denis Sassou Nguesso, la manifestation offrira une rencontre entre musiciens, producteurs et mécènes de la musique africaine.


Dans les coulisses, les activités auront lieu au Palais des Congrès (Symposium), à l'Ecole de Peinture de Poto-Poto (Marché de la Musique Africaine"MUSAF), au Centre Culturel Sony Labu Tansy, dans l'amphithéâtre du Ministère des Affaires étrangères (musique classique) et à l'Institut français (Jazz).


Cette édition du FESPAM a été officiellement lancée en juin dernier, par le ministre congolais de la Culture, Jean-Claude Ngakosso, à partir de l'historique ville sud-africain de Soweto.


La huitième, en 2011, a été annulée en pleine réalisation en raison de la mort d'une douzaine de spectateurs dans un des portails d'entrée de l'ancien terrain de football "Félix Eboué", provoquée par la bousculade.




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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 05:56

 

 

L'Angola est signataire effective de la Déclaration universelle des droits de l'homme, des Pactes internationaux relatifs aux droits civils, politiques, économiques et culturels et a fait preuve d'efforts pour s'acquitter de ses obligations librement assumées.

 

 

Cette déclaration est du secrétaire d'Etat aux droits de l'homme, António Bento Bembe, faite ce mardi lors de la séance d'ouverture de la réunion de la Commission intersectorielle pour l’élaboration des droits de l'homme (CIERDH) avec la société civile.

 

 

‘‘La création de CIERDH est un exemple concret qui montre la sensibilité du Chef de l'Etat angolais, José Eduardo dos Santos, aux droits de l'homme et le désir de contribuer à la promotion du respect universel et la défense de ceux-ci, ainsi que l'amélioration de son système de promotion et protection ", a-t-il affirmé.

 


 
Selon le secrétaire d’Etat aux droits de l’homme, cet atelier sert également à souligner les efforts de l'Angola pour la création et le renforcement des institutions et des structures nationaux des droits de l'homme.

 

 

Il a, dans ce contexte, déclaré que ‘‘ce séminaire est d'une grande importance et ouvre la porte à un plus grand dialogue et une coopération accrue dans la préparation des rapports sur les droits humains au nom de la CIERDH", ajoutant que l'action formative permettra le partage d'expériences avec la société civile dans l’élaboration des droits de l'homme et permettra une approche de son importance.

 


Avec cet évènement, il est prévu de promouvoir, développer et approfondir la compréhension mutuelle sur la préparation de ces rapports, a poursuivi le gouvernant.

 


 Des membres des associations de la société civile, des ministères de la justice et des droits de l'homme et des relations extérieures participent à ce séminaire, qui se termine ce mardi. La réunion abordera également des questions liées à l'expérience de la société civile dans l'élaboration des rapports.

 



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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 05:52


Le consul général d'Angola dans la province de Western Cape, Apolinário Pereira, s’est dit lundi, au Cap, disposé à aider les entrepreneurs sud-africains qui veulent investir en Angola.

 
S'exprimant lors de l'ouverture du premier Forum d'affaires Angola - Afrique du Sud, qui réunit des hommes d'affaires de Huila (Angola) et de Cape Town (Afrique du Sud), le diplomate angolais a déclaré qu’il y avait souvent des problèmes lors du traitement de la documentation, ou des questions bureaucratiques, notamment dans l'octroi de visas.

 
"Je remercie les deux Chambres de Commerce et d'Industrie, la société "Top Chela Traders", ainsi que les participants pour la réalisation de cet événement’’, a-t-il précisé.

 
La réunion qui se termine mercredi, rassemble 60 entrepreneurs de Huila et Cape Town, et vise à encourager la recherche de partenariats entre l'Angola et l'Afrique du Sud dans les domaines de l'investissement et des exportations.

 



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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 05:42


 

 

 

Un barrage hydroélectrique sera construit conjointement par l'Angola et la Namibie, dans les dix-huit prochains mois, sur la rivière Cunene, à la frontière commune.

 


      
Selon le ministre angolais de l'Energie et des Eaux, Joao Baptista Borges, le barrage d'un projet commun pourrait produire six cents (600) megawatts, et dont la moitié de la production pourrait être destinée à l'Angola.

 

 

 

Dans une entrevue à la presse, à Luena, chef-lieu de la province de Moxico, dans l'Est du pays, le gouvernant, qui n'a pas révélé le coût du projet, a indiqué que les études de viabilité réalisées étaient presqu'au bout.

 


        
Il a rappelé que la province de Cunene bénéficiait de l'électricité provenant du barrage de Ruacana, situé sur le territoire de la Namibie voisine.

 


        
Après Luena, où il s'était rendu lundi, le ministre de l'Energie et des Eaux s'est rendu,le même jour, à la municipalité de Dala, dans la province de Lunda-Sud (est), pour poser la première pierre marquant la construction du barrage hydroélectrique de Tchilumbue, qui pourrait produire 12,4 megawatts.

 



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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 14:11

 

 

Le journal quotidien de référence en France, "Libération",  est devenu au fil des années, incontournable, pour les lecteurs et sympathisants de gauche. Pour lire des articles engagés d'opinion et différents des autres publications.

 

C'est en 1973, que le philosophe-révolutionnaire français Jean-Paul Sartre, eut l'idée de lancer à Paris le premier numéro du journal "Libération", (familièrement appelé aussi, "Libé"). Ce fut un grand évènement médiatique pour le monde de la presse de gauche en France.

 

Le génial philosophe, Sartre, (mi-contestataire, mi-antisystème), se lança dans ce monde journalistique pour contribuer à faire avancer les idées de gauche prolétarienne et intellectuelle. Une bombe avec ce ton nouveau que toute la jeunesse révolutionnaire adhèra massivement. Le philosophe Jean-Paul Sartre, véritable homme de conviction, fut, quelque part, le fer de lance du mouvement de mai 68, qui ébranla le système politique français.

 

Bien que celui-ci soit radical dans sa philosophie, JP Sartre n'adhéra pas au radicalisme de la Gauche prolétarienne qui envisageait de mener une lutte armée. Convaincu, que la victoire se gagne sur le plan des idées dans une démocratie, Jean-Paul Sartre préférait les armes de la critique. Ainsi, il rejoignit en cela une tendance du mouvement maoïste, qui jugeait que la prise du pouvoir par le peuple pouvait être préparée par sa prise de parole.

 

Ainsi, après "La Cause du Peuple", l'organe de la gauche prolétarienne, après moult combats, Sartre et ses camarades du Mouvement de la GP, annoncèrent  la naissance d'un nouveau journal dont le philosophe Sartre prit la direction, pour faire paraître un journal 'populaire' et 'sans publicité'. Les deux premiers numéros  (de 4 pages), paraissent le 5 février et 18 avril 1973. Il faut attendre le 22 mai de la même année, pour voir sortir des kiosques le premier numéro de "Libération"- Jean-Paul Sartre en assumera la direction jusqu'au 24 mai 1974.

 

Le numéro spécial de "Libé" de ce jour, rend hommage au combat mené, depuis Serge July ( qui en assurant la direction, de mai 1974, après Sartre, jusq'à aujourd'hui, dans son édition numéro 10.000 de mardi  9 juillet 2013, sous la direction de Nicolas Demorand.  voici l'adresse du site à consulter : W W W. LIBERATION. FR

Bon anniversaire !

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 06:46


   
La ministre de la Culture, Rosa Cruz e Silva, a affirmé, lundi, à Benguela, que, malgré des difficultés, le travail de la commission pour la nomination de la ville historique de Mbanza Kongo au rang du Patrimoine Culturel Mondial marquait des pas sûrs, respectant les étapes prévues.


Intervenant à la session d'ouverture du IIIème Conseil Consultatif Elargi du Ministère de la Culture, qui se déroule jusque mercredi prochain, la ministre a souligné que les difficultés, non mentionnées, étaient graduellement surmontées dans le quotidien, mettant en relief l'engagement du gouverneur de Zaire, Joanes André, dans la recherche de solutions pour accélérer le processus, afin d'atteindre l'objectif avec succès.

 
Rosa Cruz e Silva a dit que l'importance historique et archéologique de la ville de Mbanza Kongo justifiait sa valeur universelle auprès de l'Unesco, comme celle du complexe des peintures et gravures rupestres de Citundo Ulo et le Couloir de Kwanza.

 
Selon la gouvernante, le travail en cours pour la nomination au à la catégorie de Patrimoine Culturel Mondial répose sur trois biens cités, faisant partie de la liste indicative de l'Unesco, dont l'action vise à valoriser le patrimoine historico-culturel, dans une perspective d'élever le statut des biens du pays.

 
La ministre a fait savoir que la conservation et préservation de l'énorme potentiel patrimonial que soutiennent la majorité de provinces, méritent l'attention du secteur, c'est la raison pour laquelle des actions sont menées pour l'élaboration du registre et inventaire de tout le patrimoine historique et culturel.


Rosa Cruz e Silva a expliqué que ces actions comptaient sur le support du programme de l'Institut National du Patrimoine Culturel et des commissions inter-ministérielles.

 
“Ce travail vise à donner des réponses immédiates aux questions spécifiques de sauvegarde du vaste patrimoine historique et culturel de notre beau et riche pays", a-t-elle expliqué, appelant à la contribution des autorités provinciales pour que l'inventaire et le statut de biens conduisent à la valorisation dans chaque localité du grand patrimoine matériel et immatériel.

 
Elle a défendu la nécessité d'implanter un système qui trace la voie pour l'éducation patrimoniale, indiquant que le classement au niveau national est un souhait de chaque communauté dans le territoire.

 
La ministre a remercié l'appui des partenaires du Ministère de la Culture aux communautés de la ville de Mbanza Kongo et la société angolaise, qui encouragent et appuient la matérialisation de l'intention comme forme de valoriser et de partager avec le monde le potentiel culturel du pays.


Avec l'intention d'analyser le secteur, pour le diagnoctic de l'actuelle situation, à la lumière des présupposés de la politique culturelle angolaise et de projeter des nouvelles voies en faveur du développement, le Ministère de la Culture réalise, jusque mercredi prochain, son troisième conseil consultatif élargi.


À l'occasion, les participants débattront des thèmes comme “Patrimoine matériel et immatériel”, “Infrastructures culturelles”, “ Economie de la culture”, “Culture et communication sociale”, “Langues nationales”, “Recherche scientifique dans les domaines de la culture et des arts”, “Formation, enseignement et développement des arts”, “Diplomatie culturelle” et “Phénomène religieux”.




 

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 06:37


Le ministre angolais des Relations Extérieures, Georges Rebelo Pinto Chikoti, effectue du 12 au 15 juillet prochain, une visite officielle en République de la Zambie, dans le cadre du renforcement de la coopération entre Luanda et Lusaka.


Selon une note du Ministère des Relations Extérieures parvenue lundi à l'ANGOP, le chef de la diplomatie angolaise va, d'autre part, participer du 17 au 18 juillet, à la 18ème réunion ordinaire du Conseil des Ministres de la CPLP, qui se déroulera à Maputo, République du  Mozambique.


Les relations bilatérales et de coopération entre la Zambie et l'Angola rémontent de la lutte de Libération nationale, lesquelles ont été affermies au fil des années après l'indépendance, en faisant partie d'institutions régionales, continentales et internationales comme la SADC et l'Union Africaine et l'Organisation des Nations Unies.


A signaler que un bon nombre d'Angolais résident en République de la Zambie, contribuant au développement socio-économique de ce pays voisin.

 


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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 06:25


Le commandant national de la Police de garde frontalière (PGF),  le commissaire en chef, António Pedro Candela, constatera du 7 au 9 juillet, l’état de sécurité de la frontière nord de l’Angola, notamment dans les régions de Louremo et Dundo, dans la province de Lunda Norte.


 
Selon un communiqué de presse de la police,  le commissaire en chef António Pedro Candela évaluera l’état d'organisation des 6e et 7e unités de la Police des Frontières (PGF) dans cette région.


 
Le commandant de la PGF a récemment effectué la même visite dans la province de Cabinda, où il a constaté l'état de préparation des troupes de l'organe qu’il dirige.



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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 05:59


 
Le secrétaire d'État à la Jeunesse, Nhanga Calunga de Assunção, a sollicité, lundi, à Luanda, un plus grand engagement des jeunes Angolais dans divers secteurs, à reconnaître que la diffusion de la conscience entrepreneuriale se répercute sur la croissance et le développement socioéconomique du pays.

 

Le dirigeant a fait cette déclaration à l'ouverture du premier séminaire sur le micro crédit, organisé par le Secrétariat National de la JMPLA(jeunesse du MPLA, parti au pouvoir), en partanariat avec le Ministère de l'Economie.

 
Dans son intervention, Nhanga de Assunção a admis que le développement dans divers domaines du pays est l'aboutissement de la paix, obtenue par les Angolais en avril 2002, qu'il a qualifiée d'exemple de réussite en Afrique.

 
Il a appelé à la participation et l'engagement de toutes les couches de la société dans la construction d' "un pays où il fait beau vivre", sur base du profit du potentiel et volonté entrepreneuriale des jeunes.

 
Nhanga de Assunção a décrit le séminaire comme un espace privilegié pour la dissemination d'information et analyse d' instrument financier, qui favorecise le développement social de la population et l'encadrement dans les objectifs du programme du gouvernement pour le quinquennat 2012/ 2017 et sur le plan de l'Executif d'appui à la jeunesse.

 
Il a reaffrimé que ce plan de l'Exécutif a été mis en place en vue de promouvoir et assurer le développement intégral de la jeunesse, notamment pour sa qualification et formation professionnelle, visant son insertion sur le marché de travail, dans la vie économique et amélioration de la qualité de vie.

 
 
Le “micro crédit est un instrument important pour tous les jeunes entrepreneurs, qui prétendent appliquer ses idées ou projet d'affaire durable, mais qui par manque de ressources propres ou l'appui, se voient dans l'impossibilité de continuer leurs projets” a-t-il affrimé.

 
Les participants en provenance de 18 provinces du pays vont se pencher sur l'adhésion au micro crédit, les formes de payement, les avantages et incovenients.






 


 
Luanda - Le secrétaire d'État à la Jeunesse, Nhanga Calunga de Assunção, a sollicité, lundi, à Luanda, un plus grand engagement des jeunes Angolais dans divers secteurs, à reconnaître que la diffusion de la conscience entrepreneuriale se répercute sur la croissance et le développement socioéconomique du pays.

 

Le dirigeant a fait cette déclaration à l'ouverture du premier séminaire sur le micro crédit, organisé par le Secrétariat National de la JMPLA(jeunesse du MPLA, parti au pouvoir), en partanariat avec le Ministère de l'Economie.

 
Dans son intervention, Nhanga de Assunção a admis que le développement dans divers domaines du pays est l'aboutissement de la paix, obtenue par les Angolais en avril 2002, qu'il a qualifiée d'exemple de réussite en Afrique.

 
Il a appelé à la participation et l'engagement de toutes les couches de la société dans la construction d' "un pays où il fait beau vivre", sur base du profit du potentiel et volonté entrepreneuriale des jeunes.

 
Nhanga de Assunção a décrit le séminaire comme un espace privilegié pour la dissemination d'information et analyse d' instrument financier, qui favorecise le développement social de la population et l'encadrement dans les objectifs du programme du gouvernement pour le quinquennat 2012/ 2017 et sur le plan de l'Executif d'appui à la jeunesse.

 
Il a reaffrimé que ce plan de l'Exécutif a été mis en place en vue de promouvoir et assurer le développement intégral de la jeunesse, notamment pour sa qualification et formation professionnelle, visant son insertion sur le marché de travail, dans la vie économique et amélioration de la qualité de vie.

 
 
Le “micro crédit est un instrument important pour tous les jeunes entrepreneurs, qui prétendent appliquer ses idées ou projet d'affaire durable, mais qui par manque de ressources propres ou l'appui, se voient dans l'impossibilité de continuer leurs projets” a-t-il affrimé.

 
Les participants en provenance de 18 provinces du pays vont se pencher sur l'adhésion au micro crédit, les formes de payement, les avantages et incovenients.




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