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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 15:26

 

 

 

 

Intitulé «Tango Negro, les racines africaines du Tango», ce film a la particularité de mettre en exergue tant de vérités qui, jusque-là, étaient ignorées de beaucoup de monde. Et pour célébrer sa sortie en «avant-première mondiale», la Délégation Permanente de l’Angola auprès de l’Unesco organise, le lundi 8 juillet, de 17h30 à 22h00, une projection du film dans la salle XI de la prestigieuse Maison de l’Unesco, devant de nombreuses personnalités invitées du monde diplomatique, artistique et culturel.

Par ailleurs, il faut associer à cette manifestation les deux Délégations amies - l’Argentine et l’Uruguay - les plus représentatives du Tango dans la région de Rio de la Plata, dont les populations ont longtemps porté dans leur âme les rythmes sensuels de la musique et danse Tango. Face à cet évènement, nous avons voulu avoir le sentiment de Dom Pedro, en tant qu’auteur et réalisateur du film, et ce qu’il pense de l’implication des autorités

de son pays.

LusoJornal: Votre film a reçu le label de l’Unesco «la Route de l’esclave 2013», comment avez-vous réagi face à cette nouvelle?

Dom Pedro: 

 

Ma réaction a été vive, soulagé; c’était inattendu! En accordant à ce film leur label Unesco, les experts de la Commission ont manifesté la satisfaction de par ma démarche; c’est une forme de reconnaissance de mon travail, en fait. Ce qui prouve aussi que le propos du film est la manière dont cela a été dosé ne leur a pas laissé indifférents. Oui, c’était une très bonne nouvelle.

LusoJornal: Et les autorités angolaises se mobilisent pour promouvoir le film. Quel est votre sentiment sur ce point, sachant que c’est une première, non?

Dom Pedro:

 

Oui, effectivement, dans mon cas, c’est une première car, après tant d’années d’exercice dans cette profession, c’est une preuve que le moment soit réellement venu pour être reconnu. Et si cela arrivait, ce serait le fruit d’efforts intenses, sans relâche, nourris d’immenses espoirs et toujours mobile afin d’escalader peu à peu les échelles de la vie. Car je suis quelqu’un qui essaye toujours le maximum afin d’assurer de promouvoir

l’mage de notre pays. D’ailleurs ça ne date pas d’aujourd’hui. Je les en remercie profondément. Et c’est un acte

bénéfique pour les artistes de la Diaspora angolaise toute entière. Un nouveau parfum se met à jour, à nous de l’exploiter au maximum pour le bien de notre pays. Oui, je crois fermement que l’artiste doit demeurer un lampadaire pour nos sociétés, pourvu que la lumière de nos idées soit toujours lumineuse afin de mieux éclairer nos chemins.

LusoJornal: Ce film montre que le Tango argentin ou Uruguayen tire sa source, notamment des Esclaves Noirs venus d’Afrique. Mais, pour vous, quel est le but de ce film?

Dom Pedro: 

 

Bien sûr, un des intervenants le dit bien dans ce film: «si les Noirs n’étaient pas venus dans cette contrée-là, il y aurait peut-être le Tango, mais certainement sous une autre forme». Car l’origine de toute cette danse, avant sa forme dite contemporaine, c’est bien les danses africaines rythmées par des tambours africains.

A partir de là, comment peut-on omettre ces racines, si ce n’est par la mauvaise foi! Par conséquent, il a fallu les extirper et les exhiber à la vue de tout le monde. Et le but c’est de contribuer à la connaissance du monde, sans enfoncer qui que ce soit, ce n’est pas dans notre vision des choses.

LusoJornal: Concrètement, quelle est la stratégie de la production pour la promotion de ce film?

Dom Pedro: 

 

La production fait de son mieux pour essayer de placer le film là où il faut, qu’il soit un peu plus visible. C’est pour cela que nous comptons beaucoup sur ses différents passages dans les festivals, avec l’espoir qu’il suscitera beaucoup d’engouements et de curiosité pour que les festivaliers, les spectateurs cherchent à savoir exactement de quoi il parle. C’est ainsi que les acheteurs de programmes peuvent le remarquer. Et, au-delà de belles images, un film se «juge» aussi par le propos qu’il véhicule. De ce point de vue, ma démarche est, je crois, loin d’être banale. Par ailleurs, le thème étant universel, je compte sur le soutien de tous pour en parler aux uns et aux autres. Savoir ce qu’il s’est passé, c’est mieux que l’ignorer. Voilà comment nous pouvons faire avancer dignement le monde des humains. J’invite solennellement tous ceux qui le peuvent

à venir à la projection du lundi 8 juillet, à l’Unesco, voir le film et en être, comme les Apôtres, de ceux qui auront pour mission de relayer chacun dans son obédience la bonne nouvelle. C’est une affaire de tous. Ce à quoi je m’attèle personnellement.

 

 (Propos receuillis par Armindo Pedro, pour "LusoJornal" paru le 3 juillet 2013).

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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 07:04



 

L'écrivain angolais, Lopito Feijo, a considéré mercredi, à Luanda, comme "très bon", le mouvement éditorial au niveau de la littérature angolaise, en dépit de la diminution de la qualité littéraire, raison pour laquelle on n'enregistre plus le surgissement des nouvelles révélations.

 

 

Selon Lopito Feijo, qui parlait sur le mouvement littéraire angolais, après 80 ans, il y a eu le surgissement de quelques noms de rénommée sur le marché, malgré les conditions éditoriales.

 

 

"Nous savons très peu de noms que nous pouvons élever outre-frontière au nom de la littérature angolaise. Cela signifie que, d'une part, le mouvement de l'édition a grandi avec la naissance de nouvelles maisons d'édition, et de l'autre, les auteurs n'ont pas été en mesure de correspondre à la qualité requise", a-t-il affirmé.

 

 

Même au sein de l'Union des Ecrivains Angolais (UEA), Lopito Feijo a déclaré qu'"il est notable que celui qui fait la bonne et meilleure littérature actuellement, sont les auteurs de la génération de 70 et 80".

 

 

"Vers les années 80, nous avions assumé la fonction de sujet et objet de sa propre production", a-t-il indiqué, ajoutant que "nous produisons et regardons notre production, raison pour laquelle ils surgissent des critiques et des poètes", a-t-il dit.

 

 

D'autre part, Lopito Feijo a souligné la nécessité, dans le cadre de la réforme éducative en cours en Angola, de faire très attention à l'enseignement de la langue, car le manque de maîtrise se reflète surtout dans l'écrit.

 

 

"La situation est préoccupante, parce que nous ne pouvons pas rester 10 ans de suite sans révélation littéraire", a expliqué l'écrivain angolais.

 

 

Chaque année au moins, tous les cinq ans, a poursuivi l'écrivain angolais, il doit y avoir une révélation dans la poésie, la prose, les essais, la fiction et la critique, avant de citer les d'Ondjaki et Nok Nogueira, comme certains noms du XXIè siècle, les plus remarquables.

 

 

Lopito Feijo est né le 29 septembre 1963, à Malanje. Il a étudié le Droit à Luanda, à l'Université Agostinho Neto (UAN).

 

 

Il est auteur de plusieurs oeuvres, notamment "Entre l'écran e o Esperma", son premier livre publié en 1985, "Doutrine" (1987),  "Me ditando" (1987), "Rosa Cor-de-Rosa" (1987), "Na idade de Cristo " (1987)," Corpo a corpo" (1987), "Cartas de Amor " (1990) et  "Obrilho do bronze " (2006).

 

 



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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 06:54

 

 

La délégation angolaise conduite par le ministre des Relations Exterieures, Georges Chikoti, a regagné, Luanda mardi en provenance d'Addis Abeba, où elle a participé à une réunion de haut niveau des Chefs d'Etat et de Gouvernement sur le partenariat renouvélé concernant la lutte contre la faim en Afrique réalisée du 30 juin au Ièr juillet dans la capitale éthiopienne.


A cette rencontre où le Chef de la diplomatie a représenté le Président José Eduardo dos Santos, le ministre de l'Agriculture y a également pris part et a présenté à la conférence, les projets de l'Angola dans ce domaine.


Dans une déclaration  à Luanda, Afonso Pedro Canga a fait remarquer que l'Angola avait réduit de moitié le pourcentage des personnes mal-nourries et à cet effet, en juin dernier le pays a reçu les hommages de la FAO au cours d'une de ses assemblées générales réalisées à Rome (Italie) ainsi qu'un diplôme de reconnaissance comme elle l'a fait pour d'autres pays.


A cette réunion organisée par la commission de l'Union africaine, au siège de l'organisation, il a été également relevé le succès de certains pays africains dans la lutte contre la faim et la pauvrété, ayant cité l'exemple de l'Angola qui a été appelé pour présenter ses expériences dans ce chapitre.


A l'occasion, le Brésil, par l'entremise de l'ancien Président Lulas da Silva, a parlé de l'expérience de son pays dans la lutte contre  la faim et la pauvrété. A la même séance la Chine, le Viêt Name et d'autres Etats africains ont présenté leurs parcours de réussite.


Diverses personnalités ont participé aux travaux, en l'occurence les ex-Présidents du Brésil Inácio Lulas da Silva, patron de "l'institut Lulas", Olossengu Obassanjo, du Nigeria, John Kufuor, du Ghana, le directeur général de la FAO, le brésilien José Graziano da Silva et tant d'autres.




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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 06:51

 

 

La compagnie pétrolière BP Angola et le Centre des sciences juridiques économiques et sociales de l’Université Agostinho Neto (UAN) ont signé ce mercredi, à Luanda, un protocole de coopération qui vise à dispenser deux cours de masters.


Les deux masters sont dans du domaine de Droit de pétrole et de gaz et Management des entreprises dans le secteur du pétrole et du gaz et coûteront environ un million 500 mille dollars américains.


L'accord a été signé par le président régional de la compagnie pétrolière BP Angola, Martyn Morris, et par le directeur du Centre de recherche en sciences juridiques économiques et sociales, José Octávio Serra Van-Dúnem.


Le responsable angolais a déclaré que ces deux formations allaient créer des opportunités d'accéder à de nouveaux domaines et aux activités de formation visant à l'agrandissement et la connaissance intellectuelle des professionnels angolais.


Selon le juriste José Van-Dúnem, le centre a pour but la valorisation de l'homme, avec la formation dans les différents domaines, ce qui explique pourquoi ils travaillaient à former des enseignants dans plusieurs domaines.


‘‘Nous avons mis sur le marché intérieur, en quatre éditions, plusieurs experts dans le domaine du pétrole. Nous faisons une formation différente, afin de mettre sur le marché des experts dans ces domaines", a-t-il expliqué.


Il a informé que l'Angola était le seul pays en Afrique qui avait un master dans les domaines du Droit de pétrole et du gaz et en Gestion d'entreprises dans le secteur du pétrole et du gaz


À son tour, Martyn Morris, président régional de BP, a souligné que sa compagnie travaillait avec le gouvernement, principalement dans la formation spécialisée, ainsi que dans d’autres.


"Nous sommes heureux que BP travaille avec l’Université Agostinho Neto depuis 2008 dans ces deux programmes, où nous investissons 85 pour cent des coûts de cette formation’’, a ajouté Martyn Morris.




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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 06:41


 

L' Angola participe pour la première fois à la Foire Internationale du Tourisme de Cuba (FITCUBA), prévue du 7 au 11 mai dans la région de Varadero, avec une délégation multisectorielle conduite par le ministre de l'Hôtellerie et Tourisme, Pedro Mutindi, a appris vendredi l'Angop de bonne source.

 


 
Durant cet événement, indique la source, l'Angola présentera, entre autres, les chutes de Calandula et Mussequele localisées dans la province de Malanje, de Mupa à Huambo, les rapides de Binga à Kwanza Sul, les îlhes du Cap et de Mussulo à Luanda et à Serra da Leba dans la province de Huíla.

 


 
La délégation angolaise va aussi divulguer des élements typiqes de la culture, faune et flore angolaise ainsi des oeuvres artisanales.

 


 
A cette édition, l'Angola va également présenter certains projets touristiques comme les pôles touristiques en cours dans le pays, surtout, les pôles touristiques et le projet transfrontalier Okavango/Zambeze, à travers la projection vidéos.

 


 
La gastronomie et les boissons nationales de même que la musique et des danses du pays sont exposés au salon du tourisme.

 


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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 06:39


L'Institut de la promotion du Tourisme (Infotur) vise à améliorer la façon de présenter l’Angola dans les salons sur le tourisme, en particulier en dehors du pays, et définir un plan d'action dans le cadre des programmes d'activités touristiques et d'autres réalisations des gouvernements provinciaux.


Cela a été dit par le nouveau directeur général de ladite institution, Eugénio Clemente, en soulignant que les programmes d'activités touristiques avaient trait aux événements tels que le Festival de la mer (dans la province de Namibe), les fêtes de Notre Dame du Mont (à Huila), les fêtes des villes de Malanje, de Sumbe (Kwanza Sul), entre autres.


Dans une interview, à propos des lignes de force du secteur touristique, le nouveau directeur général de l’Infotur qui a pris ses fonctions vendredi (28 juin), a fait valoir que ces objectifs étaient énoncés dans ses politiques en tant que directeur.


Toutefois, il a réfusé de faire révéler les mécanismes, les stratégies et les actions à entreprendre pour atteindre ces desiderata.

   

Il a ajouté que certaines des activités que l’Infotur allait mener visaient le rapprochement des opérateurs touristiques et la société afin qu'ils soient ‘‘à la hauteur des défis du pays’’, fournissant des politiques visant à créer des incitations aux voyages organisés dans toutes les provinces du pays.


De même, Eugénio Clemente a déclaré qu'il voulait partager le Plan national du tourisme avec les secteurs sociaux du pays, pour trouver une stratégie commune avec les ministères de l'éducation, de la culture, du commerce, des transports, entre autres, qui permet de rendre le tourisme en Angola plus fort, attractif et compétitif.


Dans le cadre de la promotion du tourisme intérieur, l'Institut de développement touristique est impliqué, avec une certaine régularité, dans des foires internationales du secteur touristique dans des pays comme l'Afrique du Sud, le Portugal, l’Espagne, l’Allemagne, Cuba, en visant pour cette année ses débuts à la foire du Ghana et de certains pays asiatiques.




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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 06:31



Le Fonds d'Appui Social (FAS) a présenté, mercredi, à Lubango, dans la province de Huila (sud), dans un séminaire, un plan dénommé "Stage 2 de la Planification Stratégique Municipale", qui vise à améliorer l'administration des municipalités.


Intervenant à l'ouverture de l'activité, le directeur provincial de la FAS, Frederico Sanumbutue, a déclaré qu'il s'agissait d'un projet de développement Local et l'a considéré comme un outil précieux pour la gestion efficace et transparente des municipalités.


Il a ajouté que le processus de planification municipale permettrait l'exécution conjointe et participative du profil des municipalités de Lubango, Chibia, Quilengues et Caconda, et postérieurement les Projets de Développement des mêmes circonscriptions.


"Dans ce projet, nous avons des différentes actions, qui dans son tout, sont destinées à la résolution des principaux problèmes des communautés", a-t-il soutenu.


Frederico Sanumbutue a dit que l'objectif était de préparer des conditions techniques et méthodologiques des cadres des municipalités concernées (Lubango, Chibia, Caconda et Quilengues), qui permettent de mener des enquêtes pour la préparation de profils municipaux.


La réunion vise à créer des mécanismes pour améliorer la qualité et l'accès aux services sociaux de base, à réduire les inégalités au niveau local et régional, à affermir les capacités humaines et institutionnelles au niveau local, à accroître la voix des citoyens dans la prise de décisions et dans la gestion publique, ainsi qu'à créer un environnement viable pour la prestation des principaux services aux familles.


Au cours des débats, les participants ont discuté des modalités de gestion des contributions du FAS aux budgets du stage 2, des stratégies pour le prélèvement de la situation des municipalités et des respectifs profils, des avantages pour les municipalités, des défis et des domaines d'intervention thématique et géographique.


Le FAS a été créé le 28 octobre 1994 sous le programme économique et social, par le décret n° 44/94 du Conseil des ministres.




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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 06:29


La Police Nationale travaille pour la surveillance électronique des villes du pays, à court et à long termes, afin d'aider les services de sécurité publique, a informé mercredi, à Luanda, le porte-parole de la Corporation, Aristófanes dos Santos.


A propos de l'installation des caméras de surveillance sur les voies publiques, le policier a fait savoir que le processus a commencé dans la capitale du pays, car il s'agit d'une ville avec un grand nombre d'habitants et le taux de criminalité est supérieur à ceux des provinces.


Il a informé qu'il existait une commission qui travaille à l'installation des appareils électroniques, avant d'ajouter qu'il y avait des zones dans la ville où ces systèmes fonctionnaient à titre expérimentale.


 Aristófanes dos Santos a expliqué que les zones où il n'existait pas encore cet équipement, le service était en train d'étendre le fil de fibre optique, comme sur toute la Marginale de Luanda, depuis le Port à l' île de Luanda, en passant par le Palais de la Justice, l'avenue "10 de Dezembro", les zones qui seront surveillées à partir du poste de contrôle de la Police Nationale.


Les images enregistrées par ces appareils, a-t-il ajouté, seront utilisées par la Police Nationale pour dévoiler les crimes et autres pratiques incorrectes.


D'après le porte- parole, les caméras de surveillance à peine visualisent, d'où la nécessité d'une connection avec les forces de police pour le traitement des images captées sur la voie publique.



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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 06:24


Le commandement de Luanda de la Police nationale a interpellé lundi deux individus appartenant à une entreprise de securité privée, présumés voleurs de 50.000 dollars quand ils transportaient des valeurs monétaires vers une succursale de la Banque Sol, dans le quartier de Maculusso, à Luanda.


Les présumés voleurs, précisément le conducteur et l'un des chefs de mission de l'entreprise de sécurité, sont détenus par le commandement de la Police Nationale, à Luanda.


L'un des présumés auteurs, répondant au nom d’Afonso Nsumba, 44 ans, a avoué le crime et a révélé à l'Angop que l'action avait eu lieu le 10 juin, quand une équipe de service d'escorte de l'institution bancaire transportait l'argent de la succursale de la Banque Sol de  Samba vers celle d’Ingombotas.


"Au cours du parcours nous avons soustrait une partie des valeurs et nous avons effectué le dépôt d'une seule partie et en conséquence des enquêtes menées par la banque et la police nationale, nous avons été arrêtés, mais nous avons procédé à la dévolution de l'argent, parce que nous ne l'avions pas encore gaspillé", a-t-il expliqué.


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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 06:19


L'ouverture du Desk Portugais de l'Agence Panapresse en Angola constitue une plus-value en ce qui conserne la couverture journalistique et la correspondance avec les pays de la région australe du continent africain, a affirmé mercredi, à Luanda, le Directeur de cette Agence de nouvelles, Babacar Fall.


 
Le responsable a précisé que le Desk Portugais sera une base des correspondants et collaborateurs qui parlent cette langue au niveau du continent, et pas seulement.


 
“Le Desk portugais, que nous allons inaugurer jeudi, est le fruit du soutien accordé durant des années par l'Agence de Nouvelles Angola Presse (Angop) à Panapresse ", a expliqué le Directeur, qui est arrivé ce mercredi au pays.


 
Durant des années, l'Agence de nouvelles africaine a produit des dépêches en anglais, français et arabe, a souligné le responsable de PANAPRESSE, qui a soutenu que l'ouverture du Desk Portugais dans les installations de l'Angop était la matérialisation  d'un rêve.


 
Selon le Directeur, l'Agence prétend rependre davantage plus des réseaux de correspondants dans divers pays, notamment dans ceux d'Afrique Australe, indiquant cependant qu'ils compteront sur la collaboration de l'Agence angolaise à cet effet, ainsi que sur le développement de la Panapresse.


 
Le Desk Portugais de l'Agence Panapresse a été créé en 2003, sur base d'un accord entre l' Angop et l'Agence panafricaine, signé en 2001.


 
De 2003 à 2012, ce Desk avait fonctionné à Dakar, au Sénégal, avec le concours de trois journalistes d'Angop, ayant la partie angolaise négocié, il y a deux ans, son transfert vers Luanda, avec succès.




Durant son séjour angolais, Babacar Fall s'entretiendra avec des membres du Conseil d'Administration d'Angop et sera reçu en audience, par le ministre de la Communication Social, José Luís de Matos.




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