Le blog de Le Blog de Nsasala

Le développement des biocarburants induit une nouvelle "course aux terres arables" en Afrique, où au moins cinq millions d'hectares dans onze pays ont été achetés par des entreprises étrangères, selon une étude publiée lundi.

 D'après l'ONG Friends of the Earth, l'acquisition par des groupes européens et asiatiques de terres où cultiver la canne à sucre et l'huile de palme implique souvent des déforestations. L'association estime aussi que ces terres pourraient être employées à produire de la nourriture et que leur acquisition risque d'entraîner des conflits avec les communautés locales.

Les défenseurs des biocarburants arguent qu'il s'agit d'une énergie renouvelable pouvant aider à lutter contre le réchauffement climatique.

Mais selon les détracteurs, leur production pénalise l'agriculture à vocation alimentaire, et le coût environnemental des déforestations annule largement le bénéfice écologique des biocarburants.

Selon le rapport, le Kenya et l'Angola ont reçu des propositions en vue de l'affectation de 500.000 hectares à la production de biocarburants.

Un projet similaire existe au Bénin pour 400.000 hectares. En Tanzanie, des producteurs de riz ont dû abandonner leurs terres pour laisser la place à des champs de canne à sucre, indique le document.

 "La compétition pour les terres et pour consacrer des cultures alimentaires de base telles que le manioc et le sorgho à la production de biocarburants risque d'entraîner une hausse des prix alimentaires et fonciers", prévient l'étude.

D'autres analyses ont à l'inverse estimé que le développement des biocarburants ne serait pas dangereux pour l'agriculture africaine, et pourrait même lui être profitable.

L'ambassadeur d'Angola en Egypte, Pedro Hendrik Vaal Neto, a adressé un message de félicitations au Président angolais, José Eduardo dos Santos, pour 68ème anniversaire de sa naissance.

 
“A l'occasion des commémorations de l'anniversaire de Votre  Excellence, Président de la République, ingénieur José Eduardo dos Santos, c'est avec une grande joie et un profond respect, que je vous souhaite, au nom de tous les fonctionnaires de cette Mission Diplomatique et en nom propre, que je vous souhaite joyeux anniversaire", lit-on dans la missive.

Avant tout, la note envoyée par l'Ambassade d'Angola en Egypte indiqué que "au fil des années, Votre Excellence, Monsieur le Président a su conduire notre pays dans ces voies vers le progrès social et économique, que tous souhaitent, ainsi qu'a élever le nom d'Angola aux niveaux les plus hauts sur la scène internationale".

 
La communauté angolaise résidente dans la ville du Caire a participé à dîner qui s'est réalisé dans la résidence officielle de l'ambassadeur Pedro Hendrick Vaal Neto pour commémorer le 68è anniversaire du Président José Eduardo dos Santos.

A son tour l'Ambassade d'Angola à Cuba a adressé au Président dos Santos, ses sincères et chaleureuses félicitations pour son  68è anniversaire, célébré 28 août.

 
"Permettez-moi, Excellence, de rappeler que son anniversaire a lieu à un moment que, grâce à votre clarividence politique, détermination et patriotisme, il y a huit ans passée, le peuple angolais avait tourné la triste page de compter chaque jour ses morts, pour s'engager dans les efforts de démocratisation et d'exécution des programmes du développement socio-économique et scientifique du pays", lit-on dans le message signé par l'ambassadeur António José Condesse de Carvalho

A partir de l'Afrique du Sud, l'ambassadeur Miguel Gaspar Fernandes Neto, au nom du collectif de l'Ambassade, a adressé des félicitations au Chef de l'Etat angolais, saluant ses qualités.

Des militants cubains ont dénoncé dimanche les transferts en prison de huit opposants détenus depuis deux semaines à La Havane et Guantanamo (est de Cuba) pour leurs activités politiques, une affaire qui intervient en plein processus de libération de prisonniers d'opinion.
   

Trois militants du Parti - illégal - Indépendant et Démocratique, Eduardo Perez, Luis Labrador et Michel Rodriguez, ont été transférés du commissariat de La Havane à une prison de La Havane et de la province voisine de Matanzas après leur arrestation le 16 août pour avoir manifesté à l'entrée de l'université de La Havane, selon la jeune militante Sara Fonseca.
   

Les trois jeunes hommes sont accusés "de désordre public", mais aucune charge n'a encore officiellement été retenue contre eux, a déclaré à l'AFP Elizardo Sanchez, à la tête de la Commission cubaine. Il n'était pas possible de confirmer cette information auprès des autorités de l'île communiste qui ne communiquent jamais sur ce genre d'affaires.
  

M. Sanchez a par ailleurs dénoncé les arrestations le 12 août de cinq opposants après une réunion politique dans une maison de Guantanamo. Les cinq militants, les frères Ernesto et Rolando Rodriguez, Francisco Manzanet, Roberto Gonzalez et Enyor Diaz, ont été transférés récemment du commissariat de la ville à la prison provinciale, selon M. Sanchez.
   

Laura Pollan, leader des "Dames en blanc", ces épouses et mères de détenus politiques, a déploré ces arrestations qui interviennent alors que les autorités ont entamé en juillet un processus de libération de 52 détenus politiques, dont la moitié sont déjà libres et en exil, dans le cadre d'une médiation inédite de l'Eglise catholique de Cuba.

Le président élu du Burundi, Pierre Nkurunziza, a juré jeudi dernier , à  Bujumbura, de dignifier la nation, d'accomplir et de faire accomplir la Constitution du pays.
 
   

Pierre Nkurunziza a assumé ce compromis lors de son investiture au poste de la plus haute magistrature du Burundi, réalisé au Palais des Congrès, en présence de centaines d'invités étrangers et nationaux, parmi eux le vice-président de l'Angola, Fernando da Piedade Dias dos Santos.
 
   

L'homme d'Etat, qui a signé le terme de responsabilité devant des juges de la Cour Constitutionnelle, a garanti promouvoir l'unité de la nation et oeuvrer en faveur de la reconstruction et construction du Burundi, visant les intérêts du peuple.
 
   

Nkurunziza, qui a été reélu en juin dernier pour un second mandat de cinq ans, a   promis de lutter contre toutes les tentatives qui visent à fomenter la désobeissance et des actes terroristes et de génocide.
 
   

Au cours de la cérémonie, l'homme d'Etat a été salué par les membres de sa famille, des entités des organes de souverenaité du Burundi et par des invités étrangers.
 
   

Des pays invités, le président du Rwanda, Paul Kagame, a été l'unique Chef d'Etat présent à la cérémonie d'investiture du président burundais.
 
   

Les autres pays invités, comme l'Angola, la Guinée Equatoriale, la République  Démocratique du Congo, la Somalie, le Nigéria, la Tanzanie, le Kenya et la Chine, entre autres, se sont faits représenter par les vice-présidents et ministres.

   Les écrivains afro-asiatiques ont rendu dimanche, au caire, en Egypte, un hommage au président angolais, José Eduardo dos Santos, pour distinguer sa "figure de grand leader de la nation angolaise".

    Le prix, un plateua d'argent doré, a été reçu par l'ambassadeur d'Angola en Egypte, Pedro Hendrik Vaal Neto, dans une cérémonie qui a connu à la présence de plusieurs écrivains afro-asiatiques, d'autres membres de la société civile égyptienne et du corps diplomatique angolais accrédité dans ce pays.

    Le président de l'organisation, Mohamed Morgan, a souligné l'importance de cette distinction et a indiqué qu'elle vise à honorer la figure d'"un grand leader qui  a su commander son pays vers un avenir promettant"

 
    Ce responsable a salué les efforts déloyés par le Président José Eduardo dos Santos pour la conquête de la paix, mettant "un point final à une période marquée par la  guerre".

    En réponse, l'ambassdeur Pedro Hendrik Vaal Neto a remercié le prix et  souhaité que les relations entre l'Angola et l'Egypte continuent harmonieusement, en faisant une retrospection de l'histoire récente de l'Angola,et a souligné l'importance du Président dos Santos dans la conquête de la paix, stabilité  et du développement social du pays.

    L'Union des Ecrivains Afro-Asiatiques a son siège au Caire et compte parmi  ses associés, d'impotantes figures de la culture arabe et africaine, se distinguant comme une organisation où des grands leaders africains trouvaient un espace pour la promotion de leurs valeurs nationales.