Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 06:06

 

Le ministre d'Etat et de la Coordination Economique,Manuel Vicente, a souligné jeudi, à Luanda, les progrès significatifs
dans les domaines d'activité gouvernementale comme habitation, enseignement et dans la réhabilitation de diverses infrastructures sociales.

 

Manuel Vicente a fait cett déclaration pendant qu'il dressait le bilan d'activités réalisées par l'exécutif au premier trimestre de 2012.

 

En matière d'habitation, il a souligné en cette phase le démarrage de construction de premiers lots de maisons sociales dans le cadre du programme de réhabilitation de municipalités de Sambizanga et Cazenga à Luanda,outre la construction de deux écoles de 30 salles de classes et des 15 écoles primaires avec 95 salles de classes.

 

Dans le domaine d'énergie et eau, il a parlé de la mise sur pied d'un projet estimé à 1, 2 mille millions de dollars u$ visant à renforcer la capacité de production, transport,distribution et entretien de systèmes d'énergie électrique en Angola.

 

A cet effet, divers travaux sont à entreprendre notamment la réhabilitation et la modérnisation de trois granda barrages hydroélectriques de Cambambe (Kwanza Norte) Matala (Huíla) et Biópio (Huambo)”, a-t-il expliqué.

 

Le ministre a, en outre paré de la réstructurationn de travaux de la société de production d'eau de Luanda(Epal) entre autres, avant d'aborder la question de la Communication Sociale et l'inauguration en fevrier dernier de la Radio Provinciale de Malanje, du Centre de Production de la Radio Nationale d'Angola à Caala dans la province de Huambo.

 

" Ont été également inaugurés dans cette période, le centre de production de la télévision publique d'Angola à Huambo et la 2è phase de l'imprimérie des Edições Novembre à Luanda" a conclu le ministre Manuel Vicente.




Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 06:03

 

Le président de la communauté des Etudiants angolais dans la province de Mutare, au Zimbabwe, Nelson Pedro, a salué jeudi, l'attention spéciale que l'ambassade d'Angola dans ce pays prête pour la solution de certains problèmes qu'ils affrontent, surtout ceux liés à la situation migratoire et les retard dans le payement du minerval.


Nelson Pedro, finaliste du cours d'Economie, a dit que la communauté compte environ 130 étudiants, dont certains sont pour l'heure en stage en Angola, au frais de l'ambassade.


A Mutare, les étudiants angolais sont formés en sciences de la Santé, Gestion Administrative, Agriculture, Théologie et en Informatique.




Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 06:00


L'Angola figure parmi les pays africains qui participent à l'exposition de l'art du continent dont la "première quinzaine
africaine" de l'école américaine de Lisbonne (CAISL), pour commémorer la journée de l'Afrique (25 mai).


           
Ce forum prévu du 14 au 25 mai sous les auspices du journaliste et  sociologue angolaise Luzia Moniz, la "quinzaine africaine" englobe aussi une conférence sur la littérature africaine et une exposition de vêtements ainsi que des accéssoires scolaires africains, à charge de la styliste angolaise Eduarda Camenha.


            
La conférence aura pour orateur le professeur ordinaire de l'Université de Coimbra et spécialiste en littérature africaine, Pires Laranjeira, et précède l'exposition de l'art du G-5 (Angola, Cap-vert, Guinée-Bissau, Mozambique et Sao Tomé et Principe) intégrant les sculptures, les masques, les peintures, le tissage et la littérature.


             
Le forum débatra de la relation entre les travaux "Nós matámos o cão tinhoso”, de l'écrivain mozambicain  Luís Bernardo Honwana, et “Os da minha rua”, de l'angolais Ondjaki, lesquels seront étudiés dans la discipline de portugais de la 9ème classe.

 



Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 05:57


Deux ministres algérien en exercice, candidats aux législatives de jeudi en Algérie, seront déférés devant la justice pour des infractions pénales, a annoncé la Commission nationale de surveillance des élections législatives (CNSL). En tout, la CNSL a reçu 150 plaintes dont une "trentaine à caractère pénal", selon son président Mohamed Siddiki lors d'un point de presse à Alger.

 


"Chérif Rahmani, ministre de l'Environnement qui se présente à Djelfa (250 km au sud d'Alger) a fait l'objet d'une plainte de 14 partis pour avoir visité tous les centres de vote de la wilaya (préfecture)" durant les opérations de vote, a-t-il expliqué.

 


Le vice-président de la CNSL, Ali Moussaoui, a précisé à l'AFP que cette plainte "relevait du pénal" car M. Rahmani "incitait les gens à voter pour lui", alors que la campagne électorale avait pris fin dimanche à minuit. Chérif Rahmani est candidat du Rassemblement national démocratique (RND) du Premier ministre Ahmed Ouyahia.

 

Tayeb Louh ministre du Travail, est le second ministre incriminé, selon la CNSL. Il a "visité les différents centres de Tlemcen (580 km à l'ouest d'Alger) pour inciter les gens à voter pour lui" et la plainte avait été transférée au pénal, a indiqué Hafid Kadri, également vice-président de la CNSL. Il est candidat du Front de libération nationale (FLN), le parti présidentiel.

 

D'autres incidents ont été détaillés à l'AFP. "A Garidi, dans la commune de Kouba dans la banlieue d'Alger, des membres de la commission ont constaté que 350 militaires avaient voté avec des procurations antidatées délivrées par la région militaire, sans signature", selon Chalabia Mahdjoubi, membre de la CNSL.



Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 05:54

 


Quelque 42% des électeurs algériens ont participé jeudi aux élections législatives, premier scrutin organisé dans ce pays depuis le Printemps arabe, un taux contrastant nettement avec la méfiance affichée durant la très brève campagne électorale.

 


Les quelque 21,6 millions d'électeurs ont voté pour élire 462 députés, bien plus massivement qu'au dernier scrutin législatif de 2007 où le taux de participation avait atteint 35,67%, mais les résultats du scrutin ne seront connus que vendredi après-midi à 14H30 GMT, selon des sources officielles.

 


"La participation globale -territoire national plus communauté nationale à l'étranger- est de 42,90%", a déclaré le ministre de l'Intérieur Daho Ould Kablia, précisant que ce taux était bien plus élevé sur le territoire national atteignant 44,38 %, alors qu'il n'a été que de 14% pour les Algériens de l'étranger.

 


Le président Abdelaziz Bouteflika, initiateur de réformes destinées à parer le pays de la révolution qui a balayé les régimes de Libye, de Tunisie, d'Egypte et du Yémen notamment, avait appelé à plusieurs reprises ses compatriotes à voter, tout comme nombre de dirigeants politiques. Mais, inversement, le taux d'abstention aura atteint 57,1%.

 


Il a surtout été marquant dans la capitale kabyle, Tizi Ouzou, atteignant 80,16%, suite au boycottage mené par l'un des partis dominants, le Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD). A Alger, forte d'environ trois millions d'habitants, l'absention a atteint 69,1% des électeurs.




Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 05:52


Le "tambour parleur" un instrument séculaire d'Afrique de l'Ouest qui servait autrefois aux villages à communiquer entre eux, retrouve une jeunesse dans la musique contemporaine, de la chantyeuse de néo soul Erykah Badu aux groupes de hip hop.

 

Aralola Olamuyiwa, dite Ara, est l'une des rares femmes au Nigeria à maîtriser cet instrument dont elle a joué aux côtés de Stevie Wonder, ou devant la reine d'Angleterre. D'école en école, la musicienne rencontre des enfants auxquels elle apprend à jouer, "une façon de préserver notre patrimoine à travers nos enfants qui seront nos lendemains, notre avenir", dit-elle.

 


Un petit bâton recourbé à la main, une fillette nigériane de cinq ans vacille en essayant de tenir ce haut tambour de 60 centimètres de haut, lors d'une leçon. Les enfants doivent perpétuer notre culture, notre tradition et il faut qu'ils démarrent jeunes, explique Ara,
après une leçon d'une heure dans une école maternelle de Lagos, la capitale économique du Nigeria.

 


L'instrument en forme de sablier, fait généralement de bois et de peau animale, est profondément ancré dans la culture ouest-africaine, où il a longtemps servi de moyen de communication, bien avant le téléphone, sans parler des courriels et des textos.

 


Utilisé au Nigeria, au Mali, au Sénégal, ce type de tambour servait à l'origine aux villages à communiquer entre eux, avec une série de sons complexes s'apparentant grossièrement aux mots de langues locales. "Cela servait comme aujourd'hui le téléphone", explique Tunde Babawale, du ministre nigérian du Tourisme.




Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 05:49

 

   
Des tirs ont éclaté jeudi soir entre l'armée et des mutins dans l'est de la République démocratique du Congo, près de la frontière avec le Rwanda et  l'Ouganda, où le général en fuite Bosco Ntaganda s'est retranché avec ses hommes, a-t-on appris de sources militaires.


"Des combats entre FARDC (Forces armées) et mutins se passent en ce moment à Runyiony, où il y a des tirs à l'arme lourde", a déclaré à l'AFP vers 22h00 (20h00 GMT) un mutin ex-membre de l'ancienne rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), dont le général Ntaganda était le chef d'état-major.

 


"Nous suivons de près la situation à Runyiony et les affrontements se poursuivent", a confirmé à l'AFP un colonel des FARDC servant à Goma, la capitale de la province instable du Nord-Kivu, théâtre depuis le 29 avril d'affrontements entre soldats loyalistes et déserteurs ex-CNDP.

 


Les heurts ont provoqué des déplacements de populations à Bunagana, non loin de Runyiony. "Certaines personnes commençaient à venir à Bunagana, mais là même ceux qui ne voulaient pas quitter leur maison sont partis", a déclaré à l'AFP un habitant de cette localité.

 


"Nous avons fui Bunagana, nous sommes tous en route pour l'Ouganda", a poursuivi cet homme accompagné de sa femme et de ses enfants, qui entendait des "bombes" tomber au moment où il s'approchait de la frontière.

 

Samedi, l'armée avait laissé cinq jours aux déserteurs pour rentrer dans le rang. "Nous en avons accueilli énormément, des centaines de militaires", avait affirmé plus tôt jeudi à l'AFP le colonel Sylvain Ekenge, porte-parole militaire pour les Nord et Sud Kivu.

 

"On verra comment on va s'y prendre pour le petit groupe qui reste autour du général Bosco, et qui est confiné dans le parc des Virunga, à la frontière avec le Rwanda", avait-il ajouté, soulignant que la suite des opérations relevait du "secret défense".

 




Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 05:45

 

Le président soudanais Omar el-Béchir a averti jeudi que son pays ne se soumettrait pas à l'ONU et l'Union africaine, compromettant davantage l'application d'une résolution enjoignant Khartoum et Juba à cesser leurs hostilités.

 

"Nous appliquerons ce que nous voulons. Personne ne peut nous imposer ce que nous ne voulons pas, ni le Conseil de sécurité de l'ONU, ni le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine", a déclaré M. Béchir dans un discours à Khartoum, réagissant
pour la première fois à la résolution du 2 mai.


Dans ce texte qui soutenait une initiative de l'Union africaine, le Conseil de sécurité de l'ONU avait exhorté les deux voisins soudanais à cesser leurs combats à la frontière sous peine de sanctions et à entamer des discussions d'ici au 16 mai.

 

 Alors que des combats ont été rapportés mercredi le long de la frontière contestée, le Soudan du Sud s'est, lui, dit "prêt à discuter à tout moment". "Si nous n'appliquons pas et ne nous conformons pas à la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU, le conflit pourrait dégénérer", a déclaré jeudi le ministre sud-soudanais du cabinet de la présidence, Deng Alor.

 

"Personne n'est intéressé par la guerre. Trouvons pacifiquement une solution à nos problèmes et évitons un conflit armé car, voyez-vous, on en a eu assez comme ça", a poursuivi le ministre, interrogé par des journalistes.

 

 La résolution de l'ONU avait également exhorté les deux Soudans, nés de la partition du pays en juillet 2011, à établir une "zone démilitarisée sécurisée" à la frontière. Et les deux voisins avaient jusqu'au 9 mai pour éloigner leurs militaires de 10 km de la frontière.

 


A l'expiration du délai mercredi, le Soudan du Sud a affirmé avoir retiré ses hommes de la frontière, mais le Soudan a jugé qu'un accord sur la frontière était nécessaire avant tout retrait.


 

M. Béchir s'exprimait devant un millier d'ouvriers du secteur de l'industrie pétrolière pour marquer la "libération" le mois dernier de la zone pétrolifère de Heglig, à la frontière, qui était passée pendant dix jours sous le contrôle des troupes sud-soudanaises.




Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 05:42


Le secrétaire d'Etat aux Relations Extérieures, Manuel Augusto, a représenté l’Angola, du 7 au 10 mai, à la réunion ministérielle du Mouvement des Pays Non-alignés, qui s’est réalisée à Sharm El Sheikh, en Egypte.


Un communiqué dudit ministère des Relations extérieures parvenu vendredi à l’Angop indique que la rencontre a fait la révision de la mise en œuvre du plan d’action adopté par le XVème Sommet des Chefs d’Etat et des gouvernements dudit mouvement, réalisée en juin 2009, également en Egypte.


La réunion de Sharm El Sheikh a également servi de préparation du XVIe Sommet des Non-alignés, prévu du 26 au 31 août 2012, en République Islamique de l’Iran.


Durant son intervention au conclave, lit-on dans le document, Manuel Augusto, a souligné les nombreux problèmes affrontés par les pays des non-alignés que, selon lui, méritent un abordage attentif.


Il a également indiqué, avec consternation, le coup d’état en Guinée- Bissau, une vraie violation des ses principes fondamentaux, qui a eu lieu à la veille du deuxième tour des élections présidentielles, dans un processus dont la transparence a été reconnue par les autorités nationales et internationales.


Quant à la situation au Moyen Orient, Manuel Augusto a dit être possible l’entente entre les Palestiniens et les Israéliens, sur la base du respect mutuel, en respectant les différences et les intérêts des deux peuples, et encourageant la reprise du dialogue entres les deux parties.


Selon lui, l’Angola, comme membre du Mouvement des Non-Alignés, continuera à travailler main dans la main avec tous les membres du mouvement, pour prévaloir la paix, le progrès, l’équité et la justice dans le monde, lit-on dans le document.




Partager cet article
Repost0
12 mai 2012 6 12 /05 /mai /2012 05:39

 

 

L'Egypte a organisé jeudi, pour la première fois de son histoire, un débat télévisé entre les deux principaux candidats à l'élection présidentielle, dont le premier tour est prévu les 23 et 24 mai.

 

Diffusé sur deux chaînes privées (ONTV et Dream) à partir de 18 heures, le débat a opposé l'ancien chef de la Ligue arabe et ex-ministre des Affaires étrangères, Amr Moussa, à Abdel Moneim Aboul Foutouh, un islamiste modéré et ancien dirigeant des Frères musulmans.


 Les sondages donnent à ces deux candidats une longueur d'avance sur leurs 11 concurrents. Ahmad Chafiq, le dernier Premier ministre de l'ancien président Hosni Moubarak renversé en février 2011, arriverait en troisième position. Les échanges entre les deux hommes ont été parfois vifs: "Vous avez travaillé pour le compte d'un groupe, les Frères musulmans, pas pour l'Egypte en tant que nation", a lancé Amr Moussa à Aboul Fatouh, qui a quitté sa formation il y a un an.


 L'ancien dirigeant des Frères a pour sa part mis l'accent à plusieurs reprises sur les liens entre Moussa et le régime de Moubarak: "Quand vous êtes vous-mêmes une partie du problème, vous ne pouvez pas fournir la solution", a accusé Aboul Fatouh.

 

L'armée, qui dirige le pays depuis la chute du raïs, a promis de rendre le pouvoir fin juin au nouveau président, à l'issue de ce scrutin d'une ouverture inédite en Egypte après des décennies d'élections-plébiscites largement boudées par les électeurs faute d'enjeu réel. Majoritaires au Parlement, les Frères musulmans seront représentés par Mohammed Morsi, le chef de leur formation politique, le Parti de la justice et de la liberté (PLJ).




Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Le Blog de Nsasala
  • : Un blog qui parle de l'actualité angolaise et du monde.
  • Contact

Recherche

Liens