Le blog de Le Blog de Nsasala

La psychologue Conceição João va présenter, vendredi à Luanda, un livre intitulé "étude des conflits conjugaux" lequel vise à atténuer les problèmes entre mariés et créer une très large harmonie dans le foyer.

Dans une déclaration faite mardi, elle a indiqué que cette oeuvre était le résultat de son expérience professionnelle alors travailleuse au centre d'encadrement de l'organisation de la femme angolaise (OMA), branche feminine du MPLA, ainsi que des recherches effectuées pour son mémoire.

Selon elle, le livre aidera les mariés et fiancés à résoudre les éventuels conflits qui peuvent surgir entre eux, affirmant que ce .livre de 98 pages a été tiré à 1.000 exemplaires et sera commercialisé à 2 mille kwanzas.

Outre le diplôme d'un institut supérieur de Théologie biblique du Brésil, Conseillère au conseil des églises chrétiennes d'Angola (CICA), Conceição João, est formée en psychologie clinique de l'Université Privée de l'Angola (UPRA).

La ministre de la Communication Sociale, Carolina Cerqueira, a exhorté mercredi, dans cette ville, les journalistes angolais à une grande responsabilité dans l'exercice de leur profession, d'être toujours attentif à l'exemption et au respect pour la personne humaine.

“Nous devons transmettre le message de cet Angola que nous sommes en train de construire, des infrastructures qui sont érigées, des travaux qui se font, de la confiance et de l'espérance du peuple angolais, du dynamisme et d'engagement de la jeunesse, de la fermeté et du courage des femmes capables de porter hors de l'Angola les images d'un peuple déterminé à défendre les conquêtes obtenues et fidèles aux principes qui ont élevé le pays dans le concert des nations", a dit la ministre.

Prenant la parole à une rencontre avec les professionnels de l'information, dans le cadre de sa visite á la province, Carolina Cerqueira a s'est dit convaincue que le travail journalistique peut améliorer, en fonction de la modernisation et des méthodes de travail.

“Nous devons parvenir à rassembler plus d'idées, plus de données pour l'information corresponde mieux aux défis du présent et aux souhaits de l'avenir", et que la mission des journalistes est d'amener hors de l'Angola les images du développement et faire en sorte que chaque angolais, où qu'il soit, parvienne à accompagner le développement du pays", a-t-elle souligné.

En forme de bilan, la ministre de la Communication Sociale s'est dit satisfaite du travail de l'Agence Angola Presse (Angop), de la Radio Nationale d'Angola (RNA) et des Editions Novembro, et a promis la création de conditions techniques et des infrastructures, pour que la province de Namibe soit plus présente au top national, à travers les organes de l'information.

"Quelle musique!": Christelle, 36 ans, a souvent entendu à Kinshasa ce refrain censé louer le balancement de ses fesses généreuses, un atout de séduction que des Congolaises convoitent au point de risquer leur santé en consommant des produits inadaptés ou dangereux.

"Certains regardent, te suivent du regard... Mais d'autres te disent les choses carrément: +Regarde ces fesses!+ ou bien +T'en as, hein!+. Ca me vexe (...) Je préfèrerais qu'on me dise que j'ai une jolie silhouette", se plaint Christelle.

Le goût de certains hommes pour les fesses charnues est né d'"une question culturelle liée à l'esthétique féminine. On aime deviner à travers le pagne des fesses suffisamment bombées", explique l'historien congolais Isidore Ndaywel.

Aujourd'hui encore, des femmes "mal loties" complexent, notamment celles qui apprécient les pantalons, robes ou jupes près du corps.  Alors, pour faire illusion, elles trouvent des subterfuges.

Christelle raconte: "Quand j'avais 18 ans, j'étais mince et mes amies me disaient que je devais grossir, et que pour ça je devais prendre du C-4", un médicament qui stimule l'appétit, en vente libre pour une somme modique. La jeune femme assure qu'elle n'a jamais tenté l'expérience.

En revanche, Olga, 20 ans, tout juste bachelière, s'est laissée tentée après une maladie, qui lui a fait perdre "beaucoup trop de poids". Elle achète du C-4 "en sirop et en comprimés. Je mets 60 comprimés dans le produit en sirop, je mélange, puis j'en prends avant de dormir. Parfois je ne mélange pas le sirop et les comprimés. Je le prends une fois par semaine, parfois tous les cinq jours".

Avant de s'endormir, "certaines en avalent 10 comprimés avec une grosse marmite de bouillie de maïs et deux pains, puis s'endorment. Elles peuvent faire ça pendant une semaine, mais elles ne sont jamais sûre que la partie ciblée est celle qui prendra du poids!", ajoute Christelle.

Le Soudan Sud et le Soudan ont repris leurs discussions mardi,à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne, pour surmonter leurs différends, y comprisla question du partage des recettes pétrolières qui ont "envénimé" leurs relations, a informé l'AFP.

"Je ne crois pas qu'il n'y a pas eu une évolution positive", depuis les derniéres négociations mal succédées réalisées en janvier 2012, à Addis-Abeba, siège de l'Union Africaine, a d éclaré à la presse, le négociateur en chef pour le Soudan Sud, Pagan Amum.

La nouvelle série de négociations englobe des recettes pétrolíères, mais également la démarcation des frontières et la définition de la nationalité, ainsi que d'autres questions litigieuses depuis la proclamation de l'indépendance du Soudan Sud, en juillet 2011.

Les négociations qui doivent continuer jusqu'au 16 mars, sont réalisées sous la médiation de l'ancien président sud-africain, Thabo Mbeki, alors que la tension a été très tendue entre les anciens ennemis, qui s'accusent mutuellement pour alimenter une rebellion sur le terrain de l'autre.

Le gouvernement sud soudanais a dit être d'accord á payer à Khartoum les droits de transit d'un total de 5,69 dollars américains, tandis que le gouvernement soudanais exige 36 dollars par baril.

L'Union Africaine a exhorté lundi les deux pays à "montrer le degré nécessaire d'engagement et de volonté de bon voisinage, pour conlure rapidement les négociations sur toutes les questions en suspens".

Les exportations de l’Angola, en 2011, ont atteint 60 milliards neuf millions de dollars américains, alors que les importations sont évaluées à 21 milliards 41 millions, a informé mercredi, à Luanda, la présidente du Conseil d’Administration de l’Agence Nationale d’Investissement privé (Anip), Maria Luisa Abrantes.

La gestionnaire a fourni cette information aux hommes d'affaires argentins, qui sont en Angola pour établir des partenariats, le cadre juridique de l'investissement privé sur le territoire angolais.

Selon la source, les exportations angolaises de l’Angola ont été le pétrole, le diamant, le café, le poisson et le sisal, tandis que les importations se rapportent aux machines, équipements électriques, véhicules et aux pièces, aux produits alimentaires, textiles et à d’autres.

Maria Abrantes a déclaré que l’Angola a besoin de Angola d’investir dans divers secteurs, soulignant que l'énergie hydraulique est l'un des plus intéressants domaines parce que le pays possède un bon potentiel hydroélectrique.

Dans ce contexte, elle a précisé qu'outre le pétrole qui est le principal produit d’exportation en Angola, l'agriculture est un secteur en pleine croissance, après l’obtention de la paix en 2002, contribuant environ 13,9 % du PIB en 2009, soulignant que l’Angola a aussi besoin d'investissements dans les domaines de montage et de production d'équipements pour l'industrie.