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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 20:46

 

 La Paix obtenue il y a neuf ans, est une occasion pour les Angolais de construire un pays plus juste, sans rancoeur, mais avec "amour entre les prochains", a déclaré samedi, l'évêque du Diocès de Luena, Mgr Jesus Tirson Blanco.


Sur les neuf ans de Paix et Réconciliation Nationale: "les gains et les bénéfices", le Prélât a souligné que " maintenant, avec la stabilité politique et, quand on s'achémine vers la stabilité sociale, les citoyens doivent vivre ensemble conformément aux règles imoposées par la société et l'église, où chaque citoyen peut vivre jheureux".


Selon l'évêque, l'actuelle génération de jeunes sont ceux qui peuvent décider le destin du pays, en se formant, maintenant que le gouvernement a créé des institutions d'enseignement dans tout le pays et à tous les niveaux.


L'église catholique,a-t-il souligné, a appuyé en cette phase délicate, à travers la pacification des esprits, en donnant des conseils, en aidant les personnes á savoir vivre ensemble dans la communauté, entre autres formes d'aide.


Avec la reconstruction des routes par le gouvernement, la congrégation catholique a aussi réconstruit son patrimoine et aide les personnes qui iont perdu l'espoir dans un avenir meilleur pour le pays.

 

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 07:32

 

 

Des dizaines de milliers d'Egyptiens se sont rassemblés vendredi sur l'emblématique place Tahrir, dans le centre du Caire, pour appeler à "sauver la révolution" qui a renversé le président Hosni Moubarak et à purger le pays des restes de l'ancien régime.    

 

"Le peuple veut purifier le pays", "Maréchal, maréchal, la légitimité vient de Tahrir", criaient des manifestants en référence au maréchal Hussein Tantaoui, le chef du Conseil suprême des forces armées qui gère le pays depuis la démission le 11 février, sous la pression de la rue, de M. Moubarak.    

 

"Le peuple veut limiter les pouvoirs du président et une république parlementaire", proclamait une pancarte au milieu des drapeaux égyptiens mais aussi yéménites, tunisiens et libyens. Le rassemblement se déroulait dans une ambiance de kermesse, sans qu'aucune présence policière ou militaire ne soit visible aux abords de la place.    

 

La "coalition des jeunes de la révolution", qui rassemble les groupes ayant lancé le soulè- vement contre M. Moubarak, avait appelé cette semaine à une nouvelle manifestation, exigeant en particulier que les responsables des tirs contre les manifestants et les symboles de la corruption soient jugés au plus vite.    

 

Les jeunes militants pro-démocratie demandent aussi que les institutions soient "purifiée" du Parti national démocrate, l'ancien parti au pouvoir, et que "les milliards volés au peuple" lui soient rendus. Sur la place, 15.000 personnes ont participé à la grande prière hebdomadaire du vendredi, et 30.000 personnes étaient rassemblées en fin d'après-midi, selon l'agence officielle Mena.   

 

La justice égyptienne a interdit à plusieurs anciens ministres, responsables et hommes d'affaires de quitter le pays et a gelé leurs avoirs en attendant les résultats d'enquêtes pour corruption ou détournement de fonds. En février, M. Moubarak et sa proche famille avaient fait l'objet d'une mesure similaire. L'armée a annoncé cette semaine que le président déchu était en résidence surveillée en Egypte.



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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 07:29

 

 

Le gouvernement du président ivoirien reconnu par la communauté internationale Alassane Ouattara a affirmé samedi avoir découvert "de nombreux charniers" dans l'Ouest du pays, accusant les partisans du chef d'Etat sortant Laurent Gbagbo d'en être responsables.

 


Le gouvernement de M. Ouattara "tient à informer (...) de la découverte de nombreux charniers dans l'Ouest du pays, notamment à Toulépleu, Bloléquin et Guiglo, dont les auteurs ne sont autres que les forces loyales, les mercenaires et les milices de M. Laurent Gbagbo", selon un
communiqué transmis à l'AFP.

 


Ces accusations interviennent juste après l'annonce par le Comité international de la Croix-Rouge qu'"au moins 800 personnes" ont été tuées mardi 29 mars lors de "violences intercommunautaires" à Duékoué, le grand carrefour de l'ouest ivoirien. Le gouvernement Ouattara a d'autre part rejeté les accusations de l'ONU, qui a dit vendredi craindre de "graves violations des droits de l'homme" commises par les forces pro-Ouattara, en particulier dans l'Ouest.

 

"Nous disposons d'informations non confirmées faisant état de graves violations des droits de l'homme commises par les Forces républicaines de Côte d'Ivoire, les forces pro-Ouattara", avait déclaré le porte-parole du Haut commissariat de l'ONU aux droits de l'homme, Rupert Colville. Ces violences auraient été enregistrées "en particulier dans les régions de Guiglo, Daloa à l'ouest", avait-il précisé.

 


Le gouvernement Ouattara "rejette fermement ces accusations et dément toute implication des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI, pro-Ouattara) dans d'éventuelles exactions".

 

"Il convient de rappeler que le président de la République de Côte d'Ivoire et son gouvernement  font du respect des droits de l'homme, la pierre angulaire de la politique gouvernementale", souligne-t-il.




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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 07:21

 

 

Un proche conseiller du clan Kadhafi à Tripoli, en visite à sa famille à Londres, est reparti porteur d'un "message fort" du gouvernement britannique au régime du colonel Kadhafi, a indiqué à l'AFP une source gouvernementale, sous couvert de l'anonymat.

 

"Mohammed Ismail est venu en Grande-Bretagne pour voir sa famille et nous avons saisi l'occasion pour envoyer un message fort au régime du colonel Kadhafi", a indiqué cette source à l'AFP. Interrogé vendredi matin, le Foreign Office n'avait pas confirmé l'information, tout en précisant "dans tous les contacts que nous avons, nous disons clairement que Kadhafi doit partir".    

 

Selon le quotidien britannique The Guardian vendredi matin, Mohammed Ismail aurait passé plusieurs jours à Londres cette semaine et aurait rencontré des responsables britanniques avant de regagner Tripoli. Selon le quotidien et la BBC, Mohammed Ismail aurait été envoyé à Londres pour tenter de trouve une porte de sortie au dirigeant libyen.    

 

The Times évoquait pour sa part vendredi une simple "visite familiale", à l'occasion de laquelle le gouvernement britannique l'aurait chargé d'un message au colonel Kadhafi. Citant une source anonyme au sein du gouvernement britannique, le Guardian avait précisé que la rencontre secrète n'était que l'une de celles organisées ces deux dernières semaines entre les deux pays.    

 

Mohammed Ismail est décrit comme un personnage-clé de l'entourage de Saïf al-Islam et a représenté Tripoli dans des négociations d'achat d'armements, selon des télégrammes diplomatiques révélés par WikiLeaks.



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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 07:19

 

 

Les rares civils qui n'ont pas fui les combats entre rebelles et armée libyenne, dans l'Est de la Libye, se terrent chez eux. Mercredi et jeudi, selon des médecins, huit d'entre eux l'ont payé de leur vie.


Dans cette région désertique en bord de mer, où le front semble s'être stabilisé depuis deux jours à mi-chemin entre le terminal pétrolier de Brega et la ville d'Ajdabiya (quelque 80.000 habitants, au sud de Benghazi), les villages sont rares et les habitants peu nombreux. Dans les maisons basses de ciment brut perdues dans cet océan de sable et de rochers, certains refusent de fuir. Ils cadenassent leurs portes, attendent et prient. 


Souvent sans électricité ni eau, toujours avec des réserves de vivres. Vendredi à l'aube Mahmoud Abidi, 38 ans, est arrivé sous l'arche de métal vert qui marque la porte Ouest d'Ajdabiya. Les ordres sont formels: on ne va pas plus loin.


"Je suis venu pour tenter d'avoir des nouvelles de ma mère et de mes frères. Ils sont restés à Brega" dit à l'AFP cet employé de raffinerie, lui aussi installés à Brega, mais qui a replié sa famille à Ajdabiya. "Ils sont parvenus à m'appeler hier, ils étaient enfermés à la maison. Tous les voisins ont fui. Ils ont peur". Brega et Ras Lanouf, à 130 km plus à l'ouest, sont surtout des sites pétroliers: raffineries, terminaux d'exportation de gisements situés plus au sud, immenses ateliers.


Les dizaines de milliers d'employés, la plupart expatriés, ont quitté les lieux à la hâte, dès le début des affrontements il y a six semaines. Les centaines de petites villas entourées de hauts murs sont vides. Quand ils tenaient les lieux, les insurgés avaient posté des hommes aux portails
d'entrée, contrôlaient les entrées.

 

A l'intérieur, dans une maison où une équipe de l'AFP a passé une nuit, tout était en place: réfrigérateur plein, linge sale dans la salle de bain, DVD sur le
lecteur.




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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 07:16

 

 

La production pétrolière du Gabon, 4e producteur sub-saharien, a été "presque entièrement paralysée" avant samedi midi dans le cadre de la grève des employés du pétrole, a appris l'AFP de sources concordantes syndicales et des compagnies vendredi.   

 

"La production de Total est presque entièrement stoppée à l'exception d'un champ qui utilise le terminal pétrolier de Gamba (sud-ouest) opéré par Shell qui sera paralysé avant midi samedi. La production de Shell, Addax et Maurel&Prom sera à ce moment arrêtée", a affirmé à l'AFP vendredi Hans Landry Ivala, secrétaire général adjoint de l'Organisation nationale des employés du pétrole (Onep).    

 

L'Onep, qui regroupe 4.000 des 5.000 employés du secteur et dont les mouvements sont généralement très suivis a appelé jeudi à la grève pour le soir-même minuit afin d'obtenir qu'un décret réglemente l'emploi de la main d'oeuvre étrangère. L'Onep entend à la fois lutter contre l'emploi de hauts cadres expatriés mais aussi et surtout contre le recours à une main d'oeuvre africaine ou asiatique peu ou pas qualifiée.    

 

Une source proche de Total a confirmé à l'AFP que "la quasi-totalité de la production de Total était stoppée" vendredi et que "les autres compagnies devraient suivre". Cette source a estimé que la grève était le fruit "d'un différend comprenant trois parties, l'Onep, l'Etat gabonais et les compagnies pétrolières".    

 

Total et Shell sont de loin les deux premiers producteurs de pétrole au Gabon. Le pétrole est la principale richesse du Gabon, qui en produit entre 220.000 et 240.000 barils par jour. Officiellement, ses recettes assurent à l'Etat "environ 60%" de son budget. Vendredi pendant la journée, des files d'attente se sont formées aux stations essence de Libreville et Port-Gentil.    

 

M. Landry Ivala a précisé que des négociations étaient en cours avec le gouvernement et que la grève "sera levée si le gouvernement prend le décret".




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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 07:14

 

 

Le site pétrolier de Brega, dans l'est de la Libye, a été vendredi le théâtre d'intenses combats entre les forces de Mouammar Kadhafi et les rebelles, qui ont proposé un cessez-le-feu sous certaines conditions, rejetées par Tripoli dans la soirée.


A Benghazi, fief des rebelles à 1.000 km à l'est de la capitale, Moustapha Abdeljalil, chef du Conseil national de transition (CNT) mis en place par la rébellion, s'est dit prêt à respecter un cessez-le-feu, à deux conditions: "que nos frères dans les villes de l'ouest puissent s'exprimer librement et que les forces (pro-Kadhafi) qui assiègent nos villes se retirent".


Mais Tripoli a rejeté ces conditions vendredi soir, affirmant que les troupes gouvernementales ne quitteraient pas les villes qu'elles contrôlaient. "Les rebelles n'ont jamais offert la paix. Ils font des demandes impossibles", a déclaré Moussa Ibrahim, porte-parole du régime, estimant que la
proposition des rebelles était "une ruse". "Nous ne quitteront pas nos villes. C'est nous le gouvernement, pas eux", a-t-il insisté, réaffirmant toutefois que le régime était prêt à la paix et au dialogue.


En milieu de journée, la ligne de front se situait à 800 km à l'est de Tripoli, aux environs de Brega, mais il était impossible de savoir de source indépendante qui contrôlait la localité, selon des journalistes de l'AFP.


Onze personnes dont huit civils ont péri en trois jours dans la zone disputée, selon des sources médicales à Ajdabiya, à 80 km à l'est de Brega: cinq civils sont morts mercredi, trois jeudi et trois rebelles vendredi.




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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 06:38

 

 

Les star algérienne du raï Cheb Mami, libéré la semaine dernière après cinq ans de prison en France pour violences sur son ex-compagne, a déclaré avoir tiré une leçon de cette épreuve, dans un entretien paru samedi en Algérie. 

 

 "C'est vrai que c'était une épreuve douloureuse mais elle a été aussi une occasion pour moi de faire le bilan", a-t-il déclaré au quotidien Le Soir d'Algérie. Cheb Mami avait été condamné pour tentative d'avortement forcé de son ex-compagne, une photographe de presse de 43 ans, avec laquelle il entretenait une liaison.   

 

Le chanteur, 43 ans, a dressé un réquisitoire contre son ex-manager qu'il avoue avoir considéré "comme un ami", avant de découvrir qu'il "n'était intéressé que par le côté matériel. Ma carrière n'était pour lui qu'un fonds de commerce", a affirmé Cheb Mami au journal algérien. L'ex manager, Michel Lectorat (Michel Lévy), qualifié d'"organisateur et instigateur" des actes de violences par le tribunal, avait écopé de 4 ans de prison.    

 

Cheb Mami a annoncé son retour au pays le 17 ou le 18 avril pour "voir la famille, les amis, travailler et penser à l'avenir". Il a aussi l'intention d'enregistrer un album. Mais il se sera auparavant produit en concert à Marseille (France) le 30 avril, ainsi qu'à Sousse (Tunisie) et Oujda (Maroc). Pour l'Algérie c'est encore à l'état de projet.   

 

La justice française a accepté le 16 mars la demande de libération conditionnelle du chanteur, qui s'était finalement présenté devant la justice après deux ans de fuite en Algérie. Cheb Mami avait demandé pardon à son ex-compagne lors de son procès, mais il n'a apparemment pas évoqué cette dernière dans son interview au Soir d'Algérie.




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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 06:33

 

 

Des bureaux de vote ont commencé à ouvrir samedi au Nigeria pour des législatives, premier scrutin d'une série prévue en avril dans le pays le plus peuplé d'Afrique, mais d'autres étaient en retard sur l'horaire, a constaté l'AFP.


Les bureaux de vote devaient ouvrir à 08H00 (07h00 GMT), avec un délai de quatre heures prévu ensuite avant le début du vote pour permettre des vérifications des inscrits et nombre de bulletins.


Des bureaux ont ouvert dans la ville de Kano dans le nord, mais à Lagos par exemple, la capitale économique, des bureaux restaient fermés en attendant l'arrivée du personnel et du matériel électoral.


Les législatives de samedi et la présidentielle prévue une semaine plus tard représentent un test pour la démocratie dans ce pays où les élections sont généralement jalonnées de fraudes et violences.



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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 06:30

 

 

Le directeur provincial de la Jeunesse et des Sports à Bié, Carlos da Silva Ulombe, a reconnu vendredi, à Kuito, que la paix avait permis l'instauration et la consolidation de la démocratie en Angola.

 

Intervenant à un séminaire sur le 4 avril, destiné aux effectifs du commandement de la IVème division militaire d'infanterie motorisée, le responsable a souligné qu'en neuf ans de paix, le pays avait enregsitré une grande évolution en ce qui concerne le processus de consolidation de la paix et de la démocratie dans le pays.

 

Selon lui, la discipline, l'ordre et l'éthique au sein des effectifs des Forces armées, ainsi que l'unité dans la diversité, doit toujours être au premier plan, de manière à sauvegarder le maintien et l'efficacité de la paix au sein des Angolais.

 

Il a indiqué que la paix avait permis la réouverture des routes, rendant ainsi possible l'augmentation de la production, l'échange de produits de champs avec ceux de la ville, ainsi que la mise en pratique de la libre circulation de personnes et biens.

 

A rappeler que les généraux et officiers supérieurs des Forces Armées Angolaises et des dissoutes Forces Armées de Libération d'Angola (FALA) de l'Unita, avaient signé le 4 avril 2002, le Mémorandum d'entente de Luena, qui a mis fin à la guerre fracticide qui avait ravagé le pays.

 

Environ trois cents soldats ont participé au séminaire, dont des officiers, sergents, soldats et travailleurs civils.




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