La paralysation du Chemin de Fer de Moçamedes (CFM), long de 211 kilomètres vers Namibe, avait gravement freiné le processus de distribution de produit vivrier de champs vers les centres de consommation.
Cette contrainte, causée par les effets néfastes de la guerre civile, a mis fin à la ligne
stratégique de marchandises et passages du réseau ferroviaire qui rélie l’est à l’ouest et
vice-versa, les marques de destruction sont encore visibles.
Mais la réouverture de ce réseau ferroviaire est prévue pour la première quinzaine du
mois de septembre, avec sept à huit trains assurant la liaison entre les villes de Namibe,
Lubango et de Menongue.
“La réouverture du Chemin de Fer de Moçâmedes apportera une grande joie à notre
population dans le transport des personne et des marchandise à grande échelle”, a affirmé
le directeur provincial des Transports à Namibe, João Ernesto dos Santos